Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
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Aryko
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Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Le village de Fribourg, en Suisse, s'apprêtait à fêter le nouvel an. Pour l'occasion, tous les mécanismes qui mesurent le temps dans le petit village avaient été apportés dans la salle des fêtes. Tout le village était présent sauf Luther, l'horloger, qui avait fabriqué tous les coucous, horloges et mécanismesde précision ; le vieil homme avait des doigts fins et diaphanes, il semblait bossu et il était chauve. On disait à la salle des fêtes, pour justifier son absence, qu'il travaillait sur le chef d'oeuvre de sa carrière : le plus beau, le plus précis de ses coucous.
Au moment où allait sonner minuit, et le nouvel an commencer, toutes les mécaniques se bloquèrent. Alors, un petit garçon s'approcha de son coucou et essaya de le faire sonner, mais la mécanique resta obstinément bloquée. Même la cloche de l'église ne sonnait pas, il faut dire que Luther l'avait dotée d'un mécanisme pour qu'elle sonne toute seule. Une fille, cette fois, ouvrit son horloge pour voir si le ressort était détendu. Mais non ! il était en parfait état de marche. C'était à ne rien y comprendre. Puis tout le village essayade faire marcher sa mécanique. Le plus étrange que le balancier de l'horloge du maire etait bloqué à gauche alors qu'il aurait du se balacer.
Le village etait hors du temps! alors on désigna Guntrich, un jeune homme plein de ressource, pour aller trouver l'horlogé et lui demander de les aider. A l'extérieur un epais recouvrait tout, la lune eclairait le village de sa lumiére laiteuse et faisait sintiller les flocons de neige. Tout etait viérge, beau, calme. Guntrich avançait dans ce decor féerique. Arrivé a l'échoppe de l'horloger, il contempla le paysage, la boutique de Luther resplendissait, la lumiére des bougies à l'intérieur éclairait les vitres sur lesquelles une fine buée était déposée. L'enseigne représentait un coucou en or. Les piéces métalliques dans la maison envoiyaient des éclats de lumière douce. Le jeune homme, en entrant, fut émerveillé par la beauté de l'endroit. L'horloger était absorbé par son travail, mais Guntrich ne voyait pas sur quoi sur quoi Luther était courbé. Le vieil homme dit d'une voix saccadé : " Bonsoir Guntrich, mes mécaniques se sont arrétêes, n'est-ce-pas ? Elles sont attentionées " . Guntrich sursauta et répondit, unpeu gêné : " Bonssoir. Qui sont attentionées ? ". L'horloger répliqua vivement : " Mais mes mécaniques bien sur ! " . Il poursuivit en accompagnant ses paroles d'un geste rageur vers une table : " Passe moi ça ! " .
Guntrich s'approcha de la table et vit une rondelle en métal qui ferait un engrenage parfait aprés avoir été taillée. Le jeune homme la prit et fut surpri par lalégèreté de l'objet, puis il la donna au vieil homme qui la tailla avec une infinie précaution au moyen d'une petite lime. Ensuite il la fixa sur une tige de son ouvrage et ferma celui-ci. Guntrich ne vit de tout cela car le vieil le cachait en se corbant dessut, puis il le couvrat d'une toile et dit à Guntrich de le suivre. L'horloger sortit avec la mécanique.
Dehors il négeait. Luther avancait doucement, il allait à la salle des fêtes. Guntrich le suivait, un peu en retrait. Arrivé à, la salle des fêtes, l'horloger accrocha sa mécanique au mur et et enleva la toile qui masquait l'objet, puis le mit en marche : c'était le plus beau des coucous ! Alors toutes les mécaniques du village sonnèrent minuit à l'unisson, comme si elles avaient attendues le coucou de l'horloger.
C'est une vieille nouvelle qui date de la quatrième qui faisait partie d'un projet de classe.
Au moment où allait sonner minuit, et le nouvel an commencer, toutes les mécaniques se bloquèrent. Alors, un petit garçon s'approcha de son coucou et essaya de le faire sonner, mais la mécanique resta obstinément bloquée. Même la cloche de l'église ne sonnait pas, il faut dire que Luther l'avait dotée d'un mécanisme pour qu'elle sonne toute seule. Une fille, cette fois, ouvrit son horloge pour voir si le ressort était détendu. Mais non ! il était en parfait état de marche. C'était à ne rien y comprendre. Puis tout le village essayade faire marcher sa mécanique. Le plus étrange que le balancier de l'horloge du maire etait bloqué à gauche alors qu'il aurait du se balacer.
Le village etait hors du temps! alors on désigna Guntrich, un jeune homme plein de ressource, pour aller trouver l'horlogé et lui demander de les aider. A l'extérieur un epais recouvrait tout, la lune eclairait le village de sa lumiére laiteuse et faisait sintiller les flocons de neige. Tout etait viérge, beau, calme. Guntrich avançait dans ce decor féerique. Arrivé a l'échoppe de l'horloger, il contempla le paysage, la boutique de Luther resplendissait, la lumiére des bougies à l'intérieur éclairait les vitres sur lesquelles une fine buée était déposée. L'enseigne représentait un coucou en or. Les piéces métalliques dans la maison envoiyaient des éclats de lumière douce. Le jeune homme, en entrant, fut émerveillé par la beauté de l'endroit. L'horloger était absorbé par son travail, mais Guntrich ne voyait pas sur quoi sur quoi Luther était courbé. Le vieil homme dit d'une voix saccadé : " Bonsoir Guntrich, mes mécaniques se sont arrétêes, n'est-ce-pas ? Elles sont attentionées " . Guntrich sursauta et répondit, unpeu gêné : " Bonssoir. Qui sont attentionées ? ". L'horloger répliqua vivement : " Mais mes mécaniques bien sur ! " . Il poursuivit en accompagnant ses paroles d'un geste rageur vers une table : " Passe moi ça ! " .
Guntrich s'approcha de la table et vit une rondelle en métal qui ferait un engrenage parfait aprés avoir été taillée. Le jeune homme la prit et fut surpri par lalégèreté de l'objet, puis il la donna au vieil homme qui la tailla avec une infinie précaution au moyen d'une petite lime. Ensuite il la fixa sur une tige de son ouvrage et ferma celui-ci. Guntrich ne vit de tout cela car le vieil le cachait en se corbant dessut, puis il le couvrat d'une toile et dit à Guntrich de le suivre. L'horloger sortit avec la mécanique.
Dehors il négeait. Luther avancait doucement, il allait à la salle des fêtes. Guntrich le suivait, un peu en retrait. Arrivé à, la salle des fêtes, l'horloger accrocha sa mécanique au mur et et enleva la toile qui masquait l'objet, puis le mit en marche : c'était le plus beau des coucous ! Alors toutes les mécaniques du village sonnèrent minuit à l'unisson, comme si elles avaient attendues le coucou de l'horloger.
C'est une vieille nouvelle qui date de la quatrième qui faisait partie d'un projet de classe.
Un univers dans la tête- Artiste Maudit
- Nombre de messages : 2166
Age : 32
Date d'inscription : 12/03/2008
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Je dirais que ca ressemble à un conte pour faire endormir les petits xélors dans leurs lits ^^
Sinon, le scénario est original, une ville coupée du temps, c'est clair que ca la fout mal...
Sinon, le scénario est original, une ville coupée du temps, c'est clair que ca la fout mal...
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
C'est une belle histoire ^^
Les horloges magiques attendent leur maître, quel délicate attention ^^
"comme si elles avaient attendues le coucou de l'horloger"
>> J'aime bien le double sens ^^
Les horloges magiques attendent leur maître, quel délicate attention ^^
"comme si elles avaient attendues le coucou de l'horloger"
>> J'aime bien le double sens ^^
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Oooh mais c'est très jolii
On dirait un conte de fées
Ca me fait penser aux nouvelles fantastiques allemandes que je lisais avant ^^
Très joli, très poétique, un bon thème d'écriture
On dirait un conte de fées
Ca me fait penser aux nouvelles fantastiques allemandes que je lisais avant ^^
Très joli, très poétique, un bon thème d'écriture
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Qui date de la 4em?? T'as pas honte de nous avoir privé tous se temps d'un bijoux pareille??
Aryko- Modérateur des Artistes
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Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
C'est très beau, on dirai que le coucous de l'horlogier, voulait donner un merveilleux cadeau aux habitants.
blueeangeel- Intégré
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Localisation : Là, où il n'y a, ni bien, ni mal
Date d'inscription : 28/02/2008
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Bien d'accord avec Benji ! ><
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
T'étais avec nous en 4ème
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
Beauty, très belle histoire >< Ca change du mec qui se coupe la jambe ><
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
en 4éme nan, j'était tout seul avec nasser (alias mouton, mais c'était pas son côté le plus chiant).
Un univers dans la tête- Artiste Maudit
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Age : 32
Date d'inscription : 12/03/2008
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
ah bon...
Un univers dans la tête- Artiste Maudit
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Age : 32
Date d'inscription : 12/03/2008
Re: Le soir où le temps s'arréta (originélement appelée "mais où est passé minuit") / Merveilleux
J'aime beaucoup ! Pleins de fautes de frappe, fait gaffe !
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