Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
4 participants
Page 1 sur 1
Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Ma participation au thème, pas fini, pas remodeler, pas trop réfléchis, et pas corrigé, comme ça vous pourrez me dire de changer des trucs sans que ça me fasse chié.
Les souterrains étaient vraiment déguelasses, des flaques d’huiles, d’eau boueuse, des déchets divers, et malgré ça Bella courait pieds nus. Suivant les tuyaux rouillés qui longeaient le mur elle tournait a gauche, a droite, encore a droite, elle s’arrêta un instant, le peu de lumière fournit par les néons du sous sol était éblouissant, derrière elle, un homme a fort accent slave cria : rattrapez moi cette pétasse !!, le gros russe, évidement. Elle reprit sa course, une sortit de secours, enfin ! L’escalier ! Elle accéléra. Arrivé en haut elle entendit ses poursuivants poussé la porte du bas. Elle sortie, aaah la lumière du jour et de l’air frais, comme c’est agréable. Après avoir repris une bouffé d’air elle s’avança calmement vers le bord de l’immeuble et se pencha, les renforts n’étaient pas arrivés. Derrière la porte s’ouvrit. Déjà ? Ils ont fait vite ! Le gros russe était encore dans son smoking blanc impeccable, tout comme ses trois acolytes, a croire qu’ils n’avaient pas empreintés le même chemin qu’elle. Il allait parler mais un bruit le coupa dans son élan Bella se retourna, les renforts étaient arrivé, la lumière se fit plus intense et elle sentit la fatigue la gagner. Plutôt que de sauté sur le parchoque de la voiture la plus proche comme elle avait l’habitude de faire elle fit face a ses poursuivants, sa tête commençai a tourner elle s’assit : Réveil ou téléphone ? ,hum, fit le gros russe toujours avec son accent, il est 6h04 donc je doute que ce soit ton réveil. Ok, vas pour le téléphone. Bella se réveilla, elle s’était encore foutu à l’ envers dans son lit, effectivement, c’était le téléphone, son vieux téléphone noir dépeint auquel elle s’était attachée malgré le fait qu’il était extrêmement désagréable de se faire réveiller par son DRIIIIING plus que sonor. Elle se redressa et se frotta les yeux, avant de décroché elle regarda son vieux réveil à aiguille lui aussi dépeint, et lui aussi désagréable au réveil, 6h04, le gros russe ne se trompait jamais.
-Quoi !
- Viens tout de suite au boulevard de Zouip la pingouine.
-Ok. Elle raccrocha, ses échanges téléphoniques avait toujours été aussi brefs, une qualité selon ses collègues.
Elle monta directement dans sa voiture, et s’habilla, déjeuna, se brossa les dents sur le trajet (elle enclencha encore les essuies glaces par reflexe lorsqu’elle cracha sur le parbrise après s'être lavé les dents, ça faisait cette effet là quand elle conduisait tôt le matin, mais elle avait passé son permis avec l’option têtedansl’cul, donc elle avait le droit). Elle comprit très rapidement se qui lui avait value se coup de fil, Malgré la foule qu’il y avait déjà sur le boulevard de Zouip la pingouine : on pouvait voire un canard en plastique au centre de la foule que la police tentait de faire reculer, peut être parcequ’il mesurait plus de cinq mètres de haut.
-Ah, enfin vous êtes là m’damoiselle.
-C’est quoi ce bordel.
Grace à un écarte chieurs anti émeute qui fendis la foule en deux de ses deux longs bras métalliques (qui brisèrent d’ailleurs le crâne de quelques uns des badauds en tombant), Bella n’eu aucun mal à se rapprocher du canard en plastique.
-Et bien le voisinage c’est pleins du bruit causé par ces deux lampadaires, répondit le policier en montrant du doigt les deux lampadaires qui entouraient le canard en plastique géant, l’un criait en boucle tout en agitant frénétiquement les bras, « J’ETAIS LA, J’AI TOUT VU », et l’autre pleurais comme une Gertrude (depuis que le comité des Madeleines unie a porté plainte pour usage de patronyme dégradant, il est interdis de pleuré comme une madeleine, à la place on pleure comme une Gertrude, le comité de Gertrude furax voulue faire de même mais il n’y avait pas assez de membres alors qu’est ce qu’on se fait chié à les écoutés). Du coup on a envoyé une brigade pour voire ce qu’il se passait, et ils ont trouvés ça.
Bella passa sous une bande « casses toi pauv’con » qui délimitait la scène du crime et comprit ce qui l’amenait : un bras dépassait de sous le canard. Bras qui était d’ailleurs entre les mains d’un médecin.
-Mais qu’est ce que vous foutez ?
-Je prends son pouls.
Bella regarda la flaque de sang qui entourait le « blessé » et qui avait aussi éclaboussé le canard : « Je croit qu’il est mort ».
-Exacte, il est mort, fit le médecin en se relevant. Je vous le laisse.
Elle s’accroupit, qu’est ce qu’ils voulaient qu’elle puisse faire d’un bras qui dépasse ?, histoire de faire quelque chose elle compta les doigts, cinq, il n’en manquait pas, on sait jamais.
-Alors ? Fit le policier impatient.
-Et bien on ne peut pas compter sur ce cadavre.
-Quoi. Il est trop abimé ?
-Nan, il a qu’une seule main, et il en faut deux pour pouvoir compter.
De toute évidence il ne comprit pas qu’on se foutait de sa gueule : « hum, je m’en doutais. »
-Faudrait songer à vidé la cage de ce lampadaire, il va finir par se noyer.
En effet ses larmes remplissaient progressivement la cage en verre qui contenait ça tête.
Bella considéra un instant le Canard, Qu’est qu’il avait l’air con avec son air d’auto satisfaction !
C’était encore une affaire débile qu’on lui avait confié, super. Elle mit un coup de poing dans le canard. POUIIIIC. La foule réagit de suite et fit une hola.
-Ça fait depuis votre arrivé qu’ils attendent ça.
-Faudrait déterminer la cause du déçai.
-Ça semble évident non ? répondit le médecin qui avait vérifié le pouls quelque minute plus tôt.
- Fait-le quand même. Bella se retourna pour retourner dans sa voiture.
-Vous allez où ?
-Continué sans moi, je vais interroger un contact avant qu’il ne s’évade.
Elle rentra chez elle. Sur le trajet elle remit son pyjama et nettoya le parbrise. Arrivé, Bella alla directement se coucher, quelle enquête à la con !
Suite
Comme le commissariat était sombre bien que très lumineux, le mélange parfait pour exploser les yeux, c’était démoralisant, et ces lampadaires dehors, pourquoi non t’il pas une tête et des bras ? Ils n’ont pas l’air plus débile pour autant, mais c’est moins gai. Salle 5 lui avait dit son supérieur. « Il ne veut parler qu’à vous » avait il ajouté. Elle entra dans la salle aux vitres teintées, et le gros russe était là, dans sa chaise qui semblait aussi confortable qu’un fauteuil. Elle ne s’assit pas : « C’est quoi se bordel dehors Stravi » (comme on avait jamais réussi a connaitre son identité et qu’il faisait régulièrement des séjours dans la salle 5, un stagiaire avait fini par l’appeler Stravinski)
-Ho, t’en que ça ? Il semblait satisfait, il leva la main droite et pressa un objet imaginaire : « pouic-pouic-pouic !!»
-Tu resteras ici, t’en que tu ne m’auras pas dit tous ce que tu sais.
-Oh, mais cette salle 5 vaut bien un autre endroit de ton esprit tordu pétasse.
-Salope.
-Pardon ?
-Tu dis toujours pétasse, varie un peu, salope, pauv’conne, sale garce …
-Et toi tu dis toujours bordel, par contre je ne peux pas te conseiller j’ai pas assez de vocabulaire, je connais zut et saperlipopette si tu veux.
-Hum, je m’en souviendrais.
-Alors, repris Stravinski en souriant après un silence, comment c’est dehors, dit moi tout.
Bella s’assit : Y’a un canard géant qui a écrasé un type cette nuit, on a deux lampadaires comme témoin potentiels mais pour l’instant ils sont en état de choc.
-Haha, un canard géant, des lampadaires vivants, c’est vraiment bizard dehors. Pourquoi n’a tu pas attendus le témoignage des lampadaires avant de me voire.
-Y’en a bien pour un mois avant que ce qu’ils disent est un sens, ils sont vraiment trop con.
-En même temps, être vissé au sol et ainsi condamner à voire passer des gens toute la journée qui se fichent de savoir se que vous pouvez ressentir, ça doit être dur. Surtout qu’ils doivent tout les jours voire la même chose, connaitre les petites habitudes de chacun, leur emplois du temps. Donc forcement, lorsqu’on s’intéresse à eux pour savoir qui a tué qui, ils ont tous intérêts à ce que ça dur longtemps, sa brise leur vie ennuyeuse de lampadaire.
Bella ria, les lampadaires ont toujours été comme ça, ils ont été créé comme ça, faire de la psychologie de lampadaire, insensé. Bon y’en avait quelque un qui se dévissait, mais c’est plus du suicide puisqu’une fois dévissé ils s’effondrent et se brisent leur tête de verre au moindre mouvement, ça refroidissait les autres.
-Et tu propose quoi, de leur donner des gameboys pour passer le temps ?
Le russe haussa les épaules, T’as d’autres détaille sur ton affaire ?
-Heu oui, la victime à cinq doigts, le Canard fait dans les 6 mètres de haut, il est jaune et a un sourire niait, il fait pouic quand on appuis dessus, et à écrasé le type.
-Que tu crois.
-Que la victime soit morte avant au après l’apparition du canard, il l’a écrasé.
-Tu as bien peu d’imagination pour quelqu’un qui vit dans un monde de dingue.
-Quoi ?, c’est ton monde qui est triste et monotone.
-Non, ça aussi c’est le tient, mais c’est l’autre tient.
Bella prit sa tête entre ses mains puis frappa violement du poing sur la table, le russe aimait jouer avec ses rêves et ça l’énervait.
-BON, T’ARRETES TOUT DE SUITE DE JOUER AVEC MOI ET TU M’EXPLIQUES EN DETAILLE.
Stravinski se pencha en avant, la lumière de la lampe qui était braqué sur lui déformait ses traits, il avait l’air de dégouliner : « vous n’avez pas les moyens de me faire parler » susurra il avant d’ajouter : « mais moi, j’ai les moyens de vous réveiller » il lui enfonça un cure dent dans la main.
Bella se réveilla en sursaut, quel enfoirer, c’était la première fois qu’il lui faisait ce coup là. Il fallait qu’elle retourne sur la scène du crime, même si Stravinsky n’avait rien dit. En chemin elle prêta attention aux lampadaires, ce crétin, ne savait rien de son monde, ils ne se plaignaient pas les lampadaires d’être ignoré se dit elle en en regardant un qui feuilletait un magasine people avec en couverture un homme politique et en titre « les montres préférer des vedettes » et en exemple « je ne sort jamais sans ma montre Waterplouf, nous a confié Roger Luimême ».Le canard était toujours là, la foule aussi. Foule qui semblait bien agiter … Bella sortit de sa voiture. Pouic-Pouicpouicpouicpouic … ah d’accord, ils font des holas en boucle. Un gamin était un train de sauter sur le canard. Comment avait il fait pour monter ? Elle s’arrêta pour interroger un policier :
« vous avez toujours pas viré ce canard ? » « non madame, on y arrive pas, c’est trop lourd » « ben voyons un canard en plastic remplis d’air » « c’est pas ça le probleme » « et ba recommencer » « ALLER LES GARS ON REESSAYE, vous vous faites une barrière»
Une dizaine de policier prirent position pour pousser le canard tendis que le reste se tenait juste derrière la bande « cassetoi’pauvecon ». Au signal, tous se mirent à pousser, et donc inévitablement … POUIIIIIIIC, la foule était en pleins délire, certain tendait la main vers le canard comme si il s’agissait de leur idole, mais la plupart se ruairent vers le canard, Certain criant OUAIIIS, d’autres ARRETEZ VOUS LUI FAITES MAL, et la majorité reprenais le cri de joie d’être en plastique et remplis d’air : « POUIIIIIIIC !! ». Le policier cria pour ce faire entendre de Bella : « En faite se sont eux qui sont lourd ». Un coup de feu retenti. La foule s’immobilisa instantanément. Le canard se dégonflait !
Bon, ba voila, il fera plus pouic, commenta Bella en rangent son arme.
Peu à peu, la foule se dissipa, comme pour la fin d’enterrement d’un type riche et célèbre. Seule restait les policiers qui attendait de voire les indices légué en héritage par feu le canard en plastic qui faisait pouic-pouic quand on appuyait dessus et qui est maintenant tout plats et donc ne feras donc plus jamais pouic pouic aussi fort puisse t’on appuyer.
On dégagea le corps et on fit venir un prêtre. Pour le Canard bien entendus, on n’avait toujours pas identifié la victime.
reSuite
La cérémonie fût émouvante, le prêtre rappela que Dieu est bon, qu’il aime tous ses enfants, quelque soit leur couleur, leur origine, qu’il soit ou non en plastic et remplis d’air : du moment que vous êtes inscrit dans les registres de baptême, Dieu vous aime (et si vous y inscriviez votre chat ? pensez y !!!), il est comme ça Dieu, c’est dans ça nature, dans le fond c’est un type bien. On apprit pour l’occasion que Spoiky (car c’était son nom) fut baptisé à St Foi il y a quelque jour, triste détaille. Comme ne manqua pas de le rappeler le prêtre, c’était un grand homme ce canard, admiré de tous malgré son handicape pour le moins ... handicapant, celui de ne pas être vivant. Mais les gens t’aiment OUI SPOIKY LES GENTS T’AIMENT, et c’est bien l’avantage de ne jamais avoir vécu, c’est qu’on à pas a en parlé au passé. Et comme tu es en plastique tu te décomposeras pendant des centaine et des centaines d’année sous terre (larme émue) émerveillant de tes petits bout jaunes éparpillés les vieux venant remplacer les fleurs en plastics des sépultures de ‘man ou de ‘pa volé par d’autre. Mais ne vous en fait pas mes frères car là où il est désormais il y a pleins de rustines, de baignoires et …
-HOO CA VAS, on a compris, et jeté pas de terre dessus vas falloir l’examiner. Bella en avait un peu marre de toujours devoir attendre la fin de la cérémonie d’enterrement pour toucher au cadavre sous prétexte qu’on ne fait pas attendre un mort (pour un meilleurs départ dans l’autre vie youpiii !!!). Le prêtre avait beau être payé a l’heure, il obtempéra, il se rattraperait sur le cas des jumeaux morts née en prenant soins de mélangé leur deux noms et en leurs inventant des signes distinctifs ainsi que des anecdotes sur leurs développement embryonnaire. Et puis de toute façon l’enterrement des jouets en plastic n’était pas très bien vu, en effet il y avait eu une plainte d’une femme lorsqu’il du enterrer la poupée gonflable de son mari, ça avait pourtant été un très beau discours !
-Vous, sortez le de la tombe et emmenez le pour une autopsie puis renseignez vous sur Spoiky et la ville de St Foi (quel nom tout pourri !! Ca faisait vraiment tache).
-Bien M’dame, le regard que lui jeta Bella fut si noir qu’il rajouta hâtivement un « oiselle » ! Elle hocha lentement la tête avec un air de et que je t’y reprenne plus.
ouf, ça a faillit faillur !!
Elle devrait maintenant s’intéresser au cas du type mort, son identité, son nombre doigts à l’autre main et tout et tout. Mais une fois arrivé …
-MAIS OU EST-CE QU’IL EST PASSE ?
Un policier s’avança, ba on a trouvé son portefeuille et donc sa carte d’identité, donc du coup il est allé se faire enterrer.
-VOUS FOUTEZ DE MOI ??
-Ba eu non m’dame, il était dans la poche gauche de ...
S’en était trop, la détective le saisit par l’oreille et projeta violement sa tête sur le pavé.
- M’DAMOISELLE PUTAIN !!! Il y eu un bruit de craquement lorsque son nez heurta le trottoir. Puis elle piétina sa tête de ses talons aiguilles éclaboussant le goudron.
-CHUIS PAS MARRIE MERDE !!! Et un policé de mort en plus un ! Mais dans ce monde il n’y avait que 3 type de personnes, ceux qui font les conneries, ceux qui les punissent, et les lampadaires, Bella avait le lux du cumule. Les policiers de base étaient donc une ressource jetable puisqu’abondante.
-Je peux avoir son sandwich ? fit le collègue du défunt.
-Sert toi. Deux enterrements dans la même journée !! C’est vraiment à chier !! On l’enterre où ?
-Au fimetierre des faidivers répondit le policier la bouche pleine laissant apparaitre une tranche de salami a moitié mâché mêlé à de la salade le tout dans un magnifique feu d’artifice de miette de pain.
-Ok, merci
-Fadquoi ! (nouvelle évasion massif de miette)
Bella eu la chance d’arrivé en fin de cérémonie, mais un peu trop à la fin, on commençais déjà a jeter de la terre sur le cercueils, tent pis , y’auras qu’à l’exhumer. Bon, interroger la famille ! La greluche en noir avec les mains collé au visage tellement elle doit s’appeler Gertrude ça doit être sa femme. De toute façon tout les autres on exactement la même tronche et fringuer pareille, autant dire qu’ils avaient un panneau « décors » autour du coup.
-Bonjours madame j’aurais quelque question à vous poser, au sujet de votre mari bien évidemment ajoutât telle avec un sourire qui se voulait rassurant. Sans décoller ses mains de son visage, il y eu une nouvelle vague de sanglot.
-Et merde, Bella se tourna vers un policier qui était resté près de sa voiture, HEP ! APPORTE UN PIED DE BICHE, Y’A LA DAME QU’EST TOUT COLLEE A SES GANTS !!
Il fit un petit signe de tête qui signifiait « tout de suite m’damoiselle » rien avoir avec le « tout de suite m’dame », le tout de suite m’damoiselle c’est comme ça et le tout de suite m’dame c’est pareille mais en différent, ouais, comme ça, enfin presque mais bon … c’est une question d’habitude quoi !, pendant qu’on vous expliquait cette nuance fondamental, le policié eu le temps de faire un numéraux de claquettes (sous les applaudissement du cortège) puis de trouver et d’apporter le pieds de biche qu’il enfonça entre le visage et les mains de la dame avec la même délicatesse que si il c’était agis d’une porte.
-Attention ça risque de vous faire tout bizard, eu la décence de prévenir l’homme en bleu, et d’un mouvement sec il fit levier se qui décolla les mains.
-Et voila !! fit-il fièrement.
Bella dévisagea la veuve, qui fit de même. Cela dura si longtemps pour que Bella aurait eu le temps de faire par écrit une description complet de son visage dans le style Zola. Si seulement visage il y avait eu !
Ba voila, c’est ce qui arrive quand on pleure trop longtemps, le visage reste collé aux mains.
-Hum, bon ! Pouvez vous me donner votre nom prenom ainsi que ceux de votre marri.
Les mains de la Veuve sanglotèrent.
- Hè ba on n’est pas couché !
CHEFS CHEFS ! , c’était celui qui était chargé de faire des recherches sur le Canard.
-Hè bien, vous avez fait vite ! félicita la détective sans se soucier de la veuve.
-Ben c’est qu’en fait le lieu de baptême, Saint Foi, ba il existe pas !
-Pardon !
-En fait c’est « ‘tain de foie » !
-A je me disais aussi, « saint foi », faut pas pousser non plus ! Bon, la veuve est en état de choc et est donc indisponible pour le moment alors on va la rappeler ultérieurement, en attendant faite des recherche sur ‘tain de foie, et vous, remontrez moi votre là avec les pieds, comment vous faites ?
C'est toujours pas fini, un peu moins bâclé, traitementdetexté et un peu plus corrigé (mais pas trop, j'ai une réputation à entretenir tout de même).
Les souterrains étaient vraiment déguelasses, des flaques d’huiles, d’eau boueuse, des déchets divers, et malgré ça Bella courait pieds nus. Suivant les tuyaux rouillés qui longeaient le mur elle tournait a gauche, a droite, encore a droite, elle s’arrêta un instant, le peu de lumière fournit par les néons du sous sol était éblouissant, derrière elle, un homme a fort accent slave cria : rattrapez moi cette pétasse !!, le gros russe, évidement. Elle reprit sa course, une sortit de secours, enfin ! L’escalier ! Elle accéléra. Arrivé en haut elle entendit ses poursuivants poussé la porte du bas. Elle sortie, aaah la lumière du jour et de l’air frais, comme c’est agréable. Après avoir repris une bouffé d’air elle s’avança calmement vers le bord de l’immeuble et se pencha, les renforts n’étaient pas arrivés. Derrière la porte s’ouvrit. Déjà ? Ils ont fait vite ! Le gros russe était encore dans son smoking blanc impeccable, tout comme ses trois acolytes, a croire qu’ils n’avaient pas empreintés le même chemin qu’elle. Il allait parler mais un bruit le coupa dans son élan Bella se retourna, les renforts étaient arrivé, la lumière se fit plus intense et elle sentit la fatigue la gagner. Plutôt que de sauté sur le parchoque de la voiture la plus proche comme elle avait l’habitude de faire elle fit face a ses poursuivants, sa tête commençai a tourner elle s’assit : Réveil ou téléphone ? ,hum, fit le gros russe toujours avec son accent, il est 6h04 donc je doute que ce soit ton réveil. Ok, vas pour le téléphone. Bella se réveilla, elle s’était encore foutu à l’ envers dans son lit, effectivement, c’était le téléphone, son vieux téléphone noir dépeint auquel elle s’était attachée malgré le fait qu’il était extrêmement désagréable de se faire réveiller par son DRIIIIING plus que sonor. Elle se redressa et se frotta les yeux, avant de décroché elle regarda son vieux réveil à aiguille lui aussi dépeint, et lui aussi désagréable au réveil, 6h04, le gros russe ne se trompait jamais.
-Quoi !
- Viens tout de suite au boulevard de Zouip la pingouine.
-Ok. Elle raccrocha, ses échanges téléphoniques avait toujours été aussi brefs, une qualité selon ses collègues.
Elle monta directement dans sa voiture, et s’habilla, déjeuna, se brossa les dents sur le trajet (elle enclencha encore les essuies glaces par reflexe lorsqu’elle cracha sur le parbrise après s'être lavé les dents, ça faisait cette effet là quand elle conduisait tôt le matin, mais elle avait passé son permis avec l’option têtedansl’cul, donc elle avait le droit). Elle comprit très rapidement se qui lui avait value se coup de fil, Malgré la foule qu’il y avait déjà sur le boulevard de Zouip la pingouine : on pouvait voire un canard en plastique au centre de la foule que la police tentait de faire reculer, peut être parcequ’il mesurait plus de cinq mètres de haut.
-Ah, enfin vous êtes là m’damoiselle.
-C’est quoi ce bordel.
Grace à un écarte chieurs anti émeute qui fendis la foule en deux de ses deux longs bras métalliques (qui brisèrent d’ailleurs le crâne de quelques uns des badauds en tombant), Bella n’eu aucun mal à se rapprocher du canard en plastique.
-Et bien le voisinage c’est pleins du bruit causé par ces deux lampadaires, répondit le policier en montrant du doigt les deux lampadaires qui entouraient le canard en plastique géant, l’un criait en boucle tout en agitant frénétiquement les bras, « J’ETAIS LA, J’AI TOUT VU », et l’autre pleurais comme une Gertrude (depuis que le comité des Madeleines unie a porté plainte pour usage de patronyme dégradant, il est interdis de pleuré comme une madeleine, à la place on pleure comme une Gertrude, le comité de Gertrude furax voulue faire de même mais il n’y avait pas assez de membres alors qu’est ce qu’on se fait chié à les écoutés). Du coup on a envoyé une brigade pour voire ce qu’il se passait, et ils ont trouvés ça.
Bella passa sous une bande « casses toi pauv’con » qui délimitait la scène du crime et comprit ce qui l’amenait : un bras dépassait de sous le canard. Bras qui était d’ailleurs entre les mains d’un médecin.
-Mais qu’est ce que vous foutez ?
-Je prends son pouls.
Bella regarda la flaque de sang qui entourait le « blessé » et qui avait aussi éclaboussé le canard : « Je croit qu’il est mort ».
-Exacte, il est mort, fit le médecin en se relevant. Je vous le laisse.
Elle s’accroupit, qu’est ce qu’ils voulaient qu’elle puisse faire d’un bras qui dépasse ?, histoire de faire quelque chose elle compta les doigts, cinq, il n’en manquait pas, on sait jamais.
-Alors ? Fit le policier impatient.
-Et bien on ne peut pas compter sur ce cadavre.
-Quoi. Il est trop abimé ?
-Nan, il a qu’une seule main, et il en faut deux pour pouvoir compter.
De toute évidence il ne comprit pas qu’on se foutait de sa gueule : « hum, je m’en doutais. »
-Faudrait songer à vidé la cage de ce lampadaire, il va finir par se noyer.
En effet ses larmes remplissaient progressivement la cage en verre qui contenait ça tête.
Bella considéra un instant le Canard, Qu’est qu’il avait l’air con avec son air d’auto satisfaction !
C’était encore une affaire débile qu’on lui avait confié, super. Elle mit un coup de poing dans le canard. POUIIIIC. La foule réagit de suite et fit une hola.
-Ça fait depuis votre arrivé qu’ils attendent ça.
-Faudrait déterminer la cause du déçai.
-Ça semble évident non ? répondit le médecin qui avait vérifié le pouls quelque minute plus tôt.
- Fait-le quand même. Bella se retourna pour retourner dans sa voiture.
-Vous allez où ?
-Continué sans moi, je vais interroger un contact avant qu’il ne s’évade.
Elle rentra chez elle. Sur le trajet elle remit son pyjama et nettoya le parbrise. Arrivé, Bella alla directement se coucher, quelle enquête à la con !
Suite
Comme le commissariat était sombre bien que très lumineux, le mélange parfait pour exploser les yeux, c’était démoralisant, et ces lampadaires dehors, pourquoi non t’il pas une tête et des bras ? Ils n’ont pas l’air plus débile pour autant, mais c’est moins gai. Salle 5 lui avait dit son supérieur. « Il ne veut parler qu’à vous » avait il ajouté. Elle entra dans la salle aux vitres teintées, et le gros russe était là, dans sa chaise qui semblait aussi confortable qu’un fauteuil. Elle ne s’assit pas : « C’est quoi se bordel dehors Stravi » (comme on avait jamais réussi a connaitre son identité et qu’il faisait régulièrement des séjours dans la salle 5, un stagiaire avait fini par l’appeler Stravinski)
-Ho, t’en que ça ? Il semblait satisfait, il leva la main droite et pressa un objet imaginaire : « pouic-pouic-pouic !!»
-Tu resteras ici, t’en que tu ne m’auras pas dit tous ce que tu sais.
-Oh, mais cette salle 5 vaut bien un autre endroit de ton esprit tordu pétasse.
-Salope.
-Pardon ?
-Tu dis toujours pétasse, varie un peu, salope, pauv’conne, sale garce …
-Et toi tu dis toujours bordel, par contre je ne peux pas te conseiller j’ai pas assez de vocabulaire, je connais zut et saperlipopette si tu veux.
-Hum, je m’en souviendrais.
-Alors, repris Stravinski en souriant après un silence, comment c’est dehors, dit moi tout.
Bella s’assit : Y’a un canard géant qui a écrasé un type cette nuit, on a deux lampadaires comme témoin potentiels mais pour l’instant ils sont en état de choc.
-Haha, un canard géant, des lampadaires vivants, c’est vraiment bizard dehors. Pourquoi n’a tu pas attendus le témoignage des lampadaires avant de me voire.
-Y’en a bien pour un mois avant que ce qu’ils disent est un sens, ils sont vraiment trop con.
-En même temps, être vissé au sol et ainsi condamner à voire passer des gens toute la journée qui se fichent de savoir se que vous pouvez ressentir, ça doit être dur. Surtout qu’ils doivent tout les jours voire la même chose, connaitre les petites habitudes de chacun, leur emplois du temps. Donc forcement, lorsqu’on s’intéresse à eux pour savoir qui a tué qui, ils ont tous intérêts à ce que ça dur longtemps, sa brise leur vie ennuyeuse de lampadaire.
Bella ria, les lampadaires ont toujours été comme ça, ils ont été créé comme ça, faire de la psychologie de lampadaire, insensé. Bon y’en avait quelque un qui se dévissait, mais c’est plus du suicide puisqu’une fois dévissé ils s’effondrent et se brisent leur tête de verre au moindre mouvement, ça refroidissait les autres.
-Et tu propose quoi, de leur donner des gameboys pour passer le temps ?
Le russe haussa les épaules, T’as d’autres détaille sur ton affaire ?
-Heu oui, la victime à cinq doigts, le Canard fait dans les 6 mètres de haut, il est jaune et a un sourire niait, il fait pouic quand on appuis dessus, et à écrasé le type.
-Que tu crois.
-Que la victime soit morte avant au après l’apparition du canard, il l’a écrasé.
-Tu as bien peu d’imagination pour quelqu’un qui vit dans un monde de dingue.
-Quoi ?, c’est ton monde qui est triste et monotone.
-Non, ça aussi c’est le tient, mais c’est l’autre tient.
Bella prit sa tête entre ses mains puis frappa violement du poing sur la table, le russe aimait jouer avec ses rêves et ça l’énervait.
-BON, T’ARRETES TOUT DE SUITE DE JOUER AVEC MOI ET TU M’EXPLIQUES EN DETAILLE.
Stravinski se pencha en avant, la lumière de la lampe qui était braqué sur lui déformait ses traits, il avait l’air de dégouliner : « vous n’avez pas les moyens de me faire parler » susurra il avant d’ajouter : « mais moi, j’ai les moyens de vous réveiller » il lui enfonça un cure dent dans la main.
Bella se réveilla en sursaut, quel enfoirer, c’était la première fois qu’il lui faisait ce coup là. Il fallait qu’elle retourne sur la scène du crime, même si Stravinsky n’avait rien dit. En chemin elle prêta attention aux lampadaires, ce crétin, ne savait rien de son monde, ils ne se plaignaient pas les lampadaires d’être ignoré se dit elle en en regardant un qui feuilletait un magasine people avec en couverture un homme politique et en titre « les montres préférer des vedettes » et en exemple « je ne sort jamais sans ma montre Waterplouf, nous a confié Roger Luimême ».Le canard était toujours là, la foule aussi. Foule qui semblait bien agiter … Bella sortit de sa voiture. Pouic-Pouicpouicpouicpouic … ah d’accord, ils font des holas en boucle. Un gamin était un train de sauter sur le canard. Comment avait il fait pour monter ? Elle s’arrêta pour interroger un policier :
« vous avez toujours pas viré ce canard ? » « non madame, on y arrive pas, c’est trop lourd » « ben voyons un canard en plastic remplis d’air » « c’est pas ça le probleme » « et ba recommencer » « ALLER LES GARS ON REESSAYE, vous vous faites une barrière»
Une dizaine de policier prirent position pour pousser le canard tendis que le reste se tenait juste derrière la bande « cassetoi’pauvecon ». Au signal, tous se mirent à pousser, et donc inévitablement … POUIIIIIIIC, la foule était en pleins délire, certain tendait la main vers le canard comme si il s’agissait de leur idole, mais la plupart se ruairent vers le canard, Certain criant OUAIIIS, d’autres ARRETEZ VOUS LUI FAITES MAL, et la majorité reprenais le cri de joie d’être en plastique et remplis d’air : « POUIIIIIIIC !! ». Le policier cria pour ce faire entendre de Bella : « En faite se sont eux qui sont lourd ». Un coup de feu retenti. La foule s’immobilisa instantanément. Le canard se dégonflait !
Bon, ba voila, il fera plus pouic, commenta Bella en rangent son arme.
Peu à peu, la foule se dissipa, comme pour la fin d’enterrement d’un type riche et célèbre. Seule restait les policiers qui attendait de voire les indices légué en héritage par feu le canard en plastic qui faisait pouic-pouic quand on appuyait dessus et qui est maintenant tout plats et donc ne feras donc plus jamais pouic pouic aussi fort puisse t’on appuyer.
On dégagea le corps et on fit venir un prêtre. Pour le Canard bien entendus, on n’avait toujours pas identifié la victime.
reSuite
La cérémonie fût émouvante, le prêtre rappela que Dieu est bon, qu’il aime tous ses enfants, quelque soit leur couleur, leur origine, qu’il soit ou non en plastic et remplis d’air : du moment que vous êtes inscrit dans les registres de baptême, Dieu vous aime (et si vous y inscriviez votre chat ? pensez y !!!), il est comme ça Dieu, c’est dans ça nature, dans le fond c’est un type bien. On apprit pour l’occasion que Spoiky (car c’était son nom) fut baptisé à St Foi il y a quelque jour, triste détaille. Comme ne manqua pas de le rappeler le prêtre, c’était un grand homme ce canard, admiré de tous malgré son handicape pour le moins ... handicapant, celui de ne pas être vivant. Mais les gens t’aiment OUI SPOIKY LES GENTS T’AIMENT, et c’est bien l’avantage de ne jamais avoir vécu, c’est qu’on à pas a en parlé au passé. Et comme tu es en plastique tu te décomposeras pendant des centaine et des centaines d’année sous terre (larme émue) émerveillant de tes petits bout jaunes éparpillés les vieux venant remplacer les fleurs en plastics des sépultures de ‘man ou de ‘pa volé par d’autre. Mais ne vous en fait pas mes frères car là où il est désormais il y a pleins de rustines, de baignoires et …
-HOO CA VAS, on a compris, et jeté pas de terre dessus vas falloir l’examiner. Bella en avait un peu marre de toujours devoir attendre la fin de la cérémonie d’enterrement pour toucher au cadavre sous prétexte qu’on ne fait pas attendre un mort (pour un meilleurs départ dans l’autre vie youpiii !!!). Le prêtre avait beau être payé a l’heure, il obtempéra, il se rattraperait sur le cas des jumeaux morts née en prenant soins de mélangé leur deux noms et en leurs inventant des signes distinctifs ainsi que des anecdotes sur leurs développement embryonnaire. Et puis de toute façon l’enterrement des jouets en plastic n’était pas très bien vu, en effet il y avait eu une plainte d’une femme lorsqu’il du enterrer la poupée gonflable de son mari, ça avait pourtant été un très beau discours !
-Vous, sortez le de la tombe et emmenez le pour une autopsie puis renseignez vous sur Spoiky et la ville de St Foi (quel nom tout pourri !! Ca faisait vraiment tache).
-Bien M’dame, le regard que lui jeta Bella fut si noir qu’il rajouta hâtivement un « oiselle » ! Elle hocha lentement la tête avec un air de et que je t’y reprenne plus.
ouf, ça a faillit faillur !!
Elle devrait maintenant s’intéresser au cas du type mort, son identité, son nombre doigts à l’autre main et tout et tout. Mais une fois arrivé …
-MAIS OU EST-CE QU’IL EST PASSE ?
Un policier s’avança, ba on a trouvé son portefeuille et donc sa carte d’identité, donc du coup il est allé se faire enterrer.
-VOUS FOUTEZ DE MOI ??
-Ba eu non m’dame, il était dans la poche gauche de ...
S’en était trop, la détective le saisit par l’oreille et projeta violement sa tête sur le pavé.
- M’DAMOISELLE PUTAIN !!! Il y eu un bruit de craquement lorsque son nez heurta le trottoir. Puis elle piétina sa tête de ses talons aiguilles éclaboussant le goudron.
-CHUIS PAS MARRIE MERDE !!! Et un policé de mort en plus un ! Mais dans ce monde il n’y avait que 3 type de personnes, ceux qui font les conneries, ceux qui les punissent, et les lampadaires, Bella avait le lux du cumule. Les policiers de base étaient donc une ressource jetable puisqu’abondante.
-Je peux avoir son sandwich ? fit le collègue du défunt.
-Sert toi. Deux enterrements dans la même journée !! C’est vraiment à chier !! On l’enterre où ?
-Au fimetierre des faidivers répondit le policier la bouche pleine laissant apparaitre une tranche de salami a moitié mâché mêlé à de la salade le tout dans un magnifique feu d’artifice de miette de pain.
-Ok, merci
-Fadquoi ! (nouvelle évasion massif de miette)
Bella eu la chance d’arrivé en fin de cérémonie, mais un peu trop à la fin, on commençais déjà a jeter de la terre sur le cercueils, tent pis , y’auras qu’à l’exhumer. Bon, interroger la famille ! La greluche en noir avec les mains collé au visage tellement elle doit s’appeler Gertrude ça doit être sa femme. De toute façon tout les autres on exactement la même tronche et fringuer pareille, autant dire qu’ils avaient un panneau « décors » autour du coup.
-Bonjours madame j’aurais quelque question à vous poser, au sujet de votre mari bien évidemment ajoutât telle avec un sourire qui se voulait rassurant. Sans décoller ses mains de son visage, il y eu une nouvelle vague de sanglot.
-Et merde, Bella se tourna vers un policier qui était resté près de sa voiture, HEP ! APPORTE UN PIED DE BICHE, Y’A LA DAME QU’EST TOUT COLLEE A SES GANTS !!
Il fit un petit signe de tête qui signifiait « tout de suite m’damoiselle » rien avoir avec le « tout de suite m’dame », le tout de suite m’damoiselle c’est comme ça et le tout de suite m’dame c’est pareille mais en différent, ouais, comme ça, enfin presque mais bon … c’est une question d’habitude quoi !, pendant qu’on vous expliquait cette nuance fondamental, le policié eu le temps de faire un numéraux de claquettes (sous les applaudissement du cortège) puis de trouver et d’apporter le pieds de biche qu’il enfonça entre le visage et les mains de la dame avec la même délicatesse que si il c’était agis d’une porte.
-Attention ça risque de vous faire tout bizard, eu la décence de prévenir l’homme en bleu, et d’un mouvement sec il fit levier se qui décolla les mains.
-Et voila !! fit-il fièrement.
Bella dévisagea la veuve, qui fit de même. Cela dura si longtemps pour que Bella aurait eu le temps de faire par écrit une description complet de son visage dans le style Zola. Si seulement visage il y avait eu !
Ba voila, c’est ce qui arrive quand on pleure trop longtemps, le visage reste collé aux mains.
-Hum, bon ! Pouvez vous me donner votre nom prenom ainsi que ceux de votre marri.
Les mains de la Veuve sanglotèrent.
- Hè ba on n’est pas couché !
CHEFS CHEFS ! , c’était celui qui était chargé de faire des recherches sur le Canard.
-Hè bien, vous avez fait vite ! félicita la détective sans se soucier de la veuve.
-Ben c’est qu’en fait le lieu de baptême, Saint Foi, ba il existe pas !
-Pardon !
-En fait c’est « ‘tain de foie » !
-A je me disais aussi, « saint foi », faut pas pousser non plus ! Bon, la veuve est en état de choc et est donc indisponible pour le moment alors on va la rappeler ultérieurement, en attendant faite des recherche sur ‘tain de foie, et vous, remontrez moi votre là avec les pieds, comment vous faites ?
C'est toujours pas fini, un peu moins bâclé, traitementdetexté et un peu plus corrigé (mais pas trop, j'ai une réputation à entretenir tout de même).
Dernière édition par Aryko le 13/11/2010, 21:23, édité 9 fois
Aryko- Modérateur des Artistes
- Nombre de messages : 2064
Age : 33
Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Vu que je suis en pleine écriture de mon thème et que je ne veux pas être influencé, je lirai le tien plus tard promis
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
J'ai juste envie de dire achète toi un traitement de texte XD
Sinon c'est juste énorme ! J'adore l'ambiance loufoque et complètement barrée de tes histoires !
Ah et... T'as mis Coïncidera au lieu de Considéra vers la fin
Sinon c'est juste énorme ! J'adore l'ambiance loufoque et complètement barrée de tes histoires !
Ah et... T'as mis Coïncidera au lieu de Considéra vers la fin
Rasenti- Futur Artiste
- Nombre de messages : 1207
Age : 31
Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Pas encore lu, juste pour te dire que si on te donnait des indications ou des trucs à modifier, ce ne sera plus un concours ^^
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Concours ? Pour moi le sondage du thème n'est pas un concours mais plutot un moyen intelligent de déterminer qui dicteras le thème suivant. Pour tout dire ça me gène pas de ne pas le mettre dans les réponses au thèmes (le thème est un jeu, pas un concours pour dire qui c'est qu'est le plus meilleurs mieux).
Aryko- Modérateur des Artistes
- Nombre de messages : 2064
Age : 33
Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Je suis d'accord, ce n'est pas un concours, et libre à nous de faire des critiques constructives !
Bon, j'ai enfin lu ce texte, et je ne le regrette pas ! C'est vraiment géniallissime, du pur Aryko, et je crève d'envie d'impatience d'avoir la suite et d'en connaître un peu plus sur ce cadavre qui a un main qui a cinq doigts !!
Bon, j'ai enfin lu ce texte, et je ne le regrette pas ! C'est vraiment géniallissime, du pur Aryko, et je crève d'envie d'impatience d'avoir la suite et d'en connaître un peu plus sur ce cadavre qui a un main qui a cinq doigts !!
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Mon dieu, c'est si gentil, je ... désolé c'est l'émotion.
Aryko- Modérateur des Artistes
- Nombre de messages : 2064
Age : 33
Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
*donne un mouchoir au pauvre Aryko*
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Resuite !!
Aryko- Modérateur des Artistes
- Nombre de messages : 2064
Age : 33
Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Ba j'ai mis a jour le texte et y'a une suite quoi !
Aryko- Modérateur des Artistes
- Nombre de messages : 2064
Age : 33
Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Bella Sassin et le mystère du meurtre au canard qui fait pouic-pouic / pfff, disons truc débile
Aryko, tu es le Dieu de l'humour absurde ! Tu as mon respect éternel, et je te lègue toutes les larmes de rire que j'ai eu en lisant ton texte. Bref, je me rappellais que c'était drôle mais ça a vraiment été une redécouverte de fou-rire-tout-seul-devant-mon-ordi, donc si jamais t'en as le courage n'hésite pas écrire la suite un jour ou l'autre !
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum