Trainée de glucogène
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Trainée de glucogène
Je me suis laché, . Pour me lacher j'ai aussi utilisé ca ( un de mes groupes préférés):
( Tellement à fond le son que le quartier à coté devait entendre )
A ecouter en lisant de préférance en sautant à 1mn05 dès le debut. ( Je sais que ca peux ne pas etre très agreable pour la plupart mais ca se marie comme le vin et le fromage)
J'ai ecrit ca d'un coupen tapant sans meme regarder l'ecran et sans m'arreter. J'ai juste corrigé certaines fautes et les multiples erreurs de frappe.
La Gueule béante, bouche ouverte, on attend, la nourriture du ciel, la nourriture des étoiles, poussières d'étoiles m'as t on dit, oui, je veux.
Les griffes pointées à l'avant j'attends, les gifles pleuvent telles les larmes du soleil. Un trou noir à la place du cœur, un pieu à la main mais pourtant aucune terreur, aucune peur ressentie. Ses membres bougent, le ciel s'assombrit.
Trainés verdâtres à l'arrière, j'avance. Les yeux tels des fusils pointées sur ma faiblesse, j'attends le coup. La violence, la barbarie est là. Doigts tremblant je défait ma ceinture m'accroupis et expulse un malheur sombre de mon être. Recherche d'un plaisir impossible. Pleurs autour et rires au dessus. Elate, Elate, elate... A l'arrière du train je tente de sauter, la force n'est pas suffisante il faut avancer, il ne faut pas s'arrêter, la peur de rater, la peur de tomber ,la peur de ne jamais se relever mais toujours un sourire aux lèvres.
Rien, sombre, rien, rien, je ne sais pas, il ne sais pas , il ne vois pas. Nous nous regardons telles des larves amorphes dans un miroir d'excrément. Touche moi, caresse moi les cheveux, prend moi la main, sectionne lui son cœur et emmène le au delà. Loin loin loin, les ciels s'éclaircissent, mais comment atteindre un bonheur profond comme celui de l'écran?
Overdose de jolie contrefaçon, de faux, de semblant, à genoux devant sa grâce, nous nous penchons au dessus des toilettes et vomissons son vide. Perdus, tous, perdus. Les hurlement de la vieille s'arrachant les cheveux gris si bien coiffés, l'alarme de la faillite. Humides, humides tels des morves amorphes remplies de glucose. Il prend son bain, il se lave, il se frotte, s'arrache la peau parsemée de lésions brillantes, il n'en veux plus. Il n'en peux plus. Il a mal, il hurle son désespoir à la vie, à ceux qui l'ont oubliés là, qui l'ont laissé seul. Seul. Il se lève et lève le poing dans au ciel, à la gueule de satan et lui crache dans la bouche son acide ignoble de douleur. Il le poignarde dans ses gonades et l'insulte. Sale pervers sale chien. Il s'ouvre, la puanteur des excréments de bonheur, la pourriture de l'oubli accumulés lui explosent à la gueule. Il lâche sa serpe et s'enfuit. La fuite de Paul, de Pierre, de Judas. Judas, a oublié , il a oublié ce qu'on lui avait dit, il n'as pas compris. Suis-je un Judas, es tu un judas? Est il un jésus? Gamo tin ratsa sou poutana! L'alcool et la nicotine dans le sang il lui sourit betement.
( Tellement à fond le son que le quartier à coté devait entendre )
A ecouter en lisant de préférance en sautant à 1mn05 dès le debut. ( Je sais que ca peux ne pas etre très agreable pour la plupart mais ca se marie comme le vin et le fromage)
J'ai ecrit ca d'un coupen tapant sans meme regarder l'ecran et sans m'arreter. J'ai juste corrigé certaines fautes et les multiples erreurs de frappe.
La Gueule béante, bouche ouverte, on attend, la nourriture du ciel, la nourriture des étoiles, poussières d'étoiles m'as t on dit, oui, je veux.
Les griffes pointées à l'avant j'attends, les gifles pleuvent telles les larmes du soleil. Un trou noir à la place du cœur, un pieu à la main mais pourtant aucune terreur, aucune peur ressentie. Ses membres bougent, le ciel s'assombrit.
Trainés verdâtres à l'arrière, j'avance. Les yeux tels des fusils pointées sur ma faiblesse, j'attends le coup. La violence, la barbarie est là. Doigts tremblant je défait ma ceinture m'accroupis et expulse un malheur sombre de mon être. Recherche d'un plaisir impossible. Pleurs autour et rires au dessus. Elate, Elate, elate... A l'arrière du train je tente de sauter, la force n'est pas suffisante il faut avancer, il ne faut pas s'arrêter, la peur de rater, la peur de tomber ,la peur de ne jamais se relever mais toujours un sourire aux lèvres.
Rien, sombre, rien, rien, je ne sais pas, il ne sais pas , il ne vois pas. Nous nous regardons telles des larves amorphes dans un miroir d'excrément. Touche moi, caresse moi les cheveux, prend moi la main, sectionne lui son cœur et emmène le au delà. Loin loin loin, les ciels s'éclaircissent, mais comment atteindre un bonheur profond comme celui de l'écran?
Overdose de jolie contrefaçon, de faux, de semblant, à genoux devant sa grâce, nous nous penchons au dessus des toilettes et vomissons son vide. Perdus, tous, perdus. Les hurlement de la vieille s'arrachant les cheveux gris si bien coiffés, l'alarme de la faillite. Humides, humides tels des morves amorphes remplies de glucose. Il prend son bain, il se lave, il se frotte, s'arrache la peau parsemée de lésions brillantes, il n'en veux plus. Il n'en peux plus. Il a mal, il hurle son désespoir à la vie, à ceux qui l'ont oubliés là, qui l'ont laissé seul. Seul. Il se lève et lève le poing dans au ciel, à la gueule de satan et lui crache dans la bouche son acide ignoble de douleur. Il le poignarde dans ses gonades et l'insulte. Sale pervers sale chien. Il s'ouvre, la puanteur des excréments de bonheur, la pourriture de l'oubli accumulés lui explosent à la gueule. Il lâche sa serpe et s'enfuit. La fuite de Paul, de Pierre, de Judas. Judas, a oublié , il a oublié ce qu'on lui avait dit, il n'as pas compris. Suis-je un Judas, es tu un judas? Est il un jésus? Gamo tin ratsa sou poutana! L'alcool et la nicotine dans le sang il lui sourit betement.
Dernière édition par Karmojal le 7/6/2011, 14:13, édité 2 fois
Re: Trainée de glucogène
Sans avoir pu prendre en considération l'influence de la musique (en l'écoutant donc) je t'aurais trouvé très morbide, mais en fait je pense qu'elle m'aurait inspiré quelque chose dans le même esprit. Beau laissez-aller de l'intellect et de la plume, une certaine poésie dans le gore, mais qui évoque des images assez désagréable de même que la lecture par conséquent.
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: Trainée de glucogène
Merci.
C'est sympa de se laisser aller ainsi, à refaire tres vite.
Effectivement des images marquantes pour faire passer quelque chose.
C'est sympa de se laisser aller ainsi, à refaire tres vite.
Effectivement des images marquantes pour faire passer quelque chose.
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