ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
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Aryko
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ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Les questions sont plus importantes que les réponses. Ce sont les derniers mots que m’a dit ma mère avant de mourir écrasée par un piano tombant du sixième étage d’un immeuble. Par chance, il fonctionnait encore. Je le sais car, voyez-vous, Let it be était la chanson préférée de ma maman. Or, je me suis dit que si l’une de ses oreilles étalée sur la chaussée fonctionnait encore, elle serait ravie d’entendre cette chanson avant de monter au ciel. Comme quoi, elle avait bien fait de me donner des cours de piano.
Vous pensez sûrement qu’après cela, je suis devenu pianiste. Et c’est d’ailleurs sans aucun doute ce qu’aurait fait toute personne sensée. Cependant, à la surprise de tous mes proches, je décidai de devenir un questionneur. Je vous vois arrivé avec vos grands sabots de bois « mouii, qu’est-ce que c’est que ce métier, c’est n’importe quoi, les jeunes de nos jours, etc. » Trop de personnes se moque de mon métier tout simplement car ils ignorent quelles sont ses caractéristiques. Voyez-vous, un questionneur est exactement l’inverse d’un répondeur. C’est-à-dire qu’il doit jurer sur la vie de sa mère, même si elle déjà morte, qu’il ne posera plus que des questions pour le reste de sa vie, et jamais de réponse.
-Et combien ça rapporte cette connerie ? me demandait très aigri mon père.
-Qu’est-ce que j’en sais moi ? lui répondais-je furax. Il était con ou quoi ? C’est moi qui venait d’inventer ce métier, et tant que l’on n’a pas la majorité, on n’a pas le droit de gagner de l’argent. Je ne pouvais donc pas savoir combien ça rapportait !
Toutefois, être questionneur est un métier d’avenir, croyez-moi, et je ne saurais que trop vous le conseiller. Toute mon adolescence, j’ai pu découvrir les multiples et fantastiques usages de celui-ci.
Par exemple, lorsque la professeur vous demande :
-Perséphone (c’est mon nom), venez au tableau.
Vous pouvez répondre du tac au tac :
-Quelle est la couleur de vos chaussettes aujourd’hui ?
Un autre exemple. Vous marchez tranquillement dans les couloirs, et là une fille vient vous voir et vous dit :
-Accepterais-tu de sortir avec moi ?
Vous, aussitôt :
-Mais, au fond, pourquoi les poules n’ont pas de dent ?
Et les exemples sont infinis ! Si vous avez encore du mal à comprendre, je vais prendre un exemple encore plus simple.
Monsieur A : Bonjour, comment allez-vous ?
Monsieur B : Aimez-vous l’emmental ?
Évidemment, je perçus vite de la jalousie dans le regard de tout ce qui m’entourait. Ainsi, un jour, le directeur de l’école vint frapper à la porte et demanda à ce que je vienne dans son bureau. Tout fier d’avoir fait parler de moi jusqu’au bureau du proviseur, j’y allais tout gaiement. Peut-être voulait-il que je lui apprenne les secrets de mon métier, me disais-je en chemin. Mais lorsque j’arrivai, je vis tout de suite que… quelque chose n’allait pas. Effectivement, il y avait dans son bureau plein de superbes tableaux, un bureau qui reflétait votre propre image ou encore des rideaux très très chic.
-Comment ça se fait qu’on a tous du matériel pourri et que ça brille comme ça chez vous ? Vous êtes un escroc ?
-Ah ah, me répondit-il gêné (mes talents de questionneur venaient en effet de se révéler à lui). Nous parlerons de ça plus tard Perséphone. Pour l’instant assis-toi là, tu veux ?
-Vous avez déjà vu un éléphant ?
-Perséphone, je t’en prie, ne change pas de sujet. Tu es un grand garçon maintenant.
-Et une girafe, vous avez déjà vu une girafe ?
-Écoute Perséphone, nous sommes là pour t’aider. Nous t’apprécions beaucoup, là n’est pas la question. Ta maîtresse me dit toujours que tu es un élève « spécial mais charmant ». Néanmoins…
-Et une otarie ?
-Tes capacités de « questionneur » n’ont pas leur place dans cet établissement. Le fait que tu répondes à chaque question dans tes interrogations par « pourquoi vous me le demandez si vous le savez ? » et autres cocasseries ne sont pas possible. Je vais te poser trois questions. Essaye de vraiment y répondre, je demande ça pour ton bien. Premièrement, quel est ton nom ?
-Comment vous avez pu m’appeler Perséphone si vous êtes pas au courant ?
-Réponse acceptable. Deuxièmement, combien ma main droite (il me la montra) a-t-elle de doigts ?
-Vous voyez pas que vous en avez cinq ? Vos lunettes marchent pas ?
-C’est bien petit. Troisièmement, fais-moi une phrase qui ne soit pas interrogative.
-Une quoi ?
-Une phrase non-interrogative.
-Mais pourquoi ?
-Fais-le.
-Vous savez pas comment fonctionne un questionneur ?
-Perséphone, s’il te plaît !
-Et s’il me plaît pas ?
-Dernière chance.
-En somme, vous n’avez jamais vu ni éléphant, ni girafe, ni otarie ?
Maman aurait été fière de moi. J’ai fini dans une camisole de force, enfermé à l’asile Saint-Joseph.
En fait, c’est là-bas que j’ai fini mes dix dernières années jusqu’à aujourd’hui. Je n’ai jamais eu à me plaindre du service. Tout d’abord, ma chambre et mon lit sont tous les deux très confortables, ils sont tous les deux rembourrés avec du coton très doux. Et puis pensez-vous, avant, mon papa me grondait quand je sautais sur mon lit. Mais maintenant que je ne le vois plus, je peux sauter librement dans tous les coins et recoins de ma chambre. En fait pour être exact, au début il venait me rendre visite, et un jour il a dit « oh puis après tout, ta mère n’avait qu’à pas fumer enceinte, allez hop, tu te démerdes » et je ne l’ai jamais revu. Vous vous demandez sûrement si je me suis fais des amis là-bas. Pour tout dire, j’en ai qu’un, mais haut placé hein, c’est le directeur de l’asile ! Je sais me faire des relations moi. Surtout des relations sexuelles d’ailleurs, étant donné que deux jours après que je sois arrivé dans l’asile, le directeur m’a pris à la fois en charge et en levrette. Le problème, c’est qu’il a peur que ça s’ébruite et donc il m’a interdit de voir d’autres personnes. Comme je suis au cinquième étage, je ne vois les autres que par la fenêtre lorsqu’ils jouent dans la cour, mais ils ne m’entendent pas d’ici. Mais je sais rester optimiste : je suis dans une loge confortable, la vue sur toute la ville est imprenable, la bouffe est vraiment pas mal…
TOC TOC TOC.
Je me suis retourné. C’était le directeur.
-Bonjour mon petit questionneur. Comment vas-tu ce soir ?
-Il est déjà dix-huit heures ?
-Eh oui, content de savoir que le temps passe vite pour toi. Par contre, j’ai eu personnellement une journée très difficile, j’espère que tu vas m’aider à me remonter… le moral. Et j’espère que tu as du souffle à revendre aujourd’hui.
-Pourquoi dites-vous cela ?
-Eh bien mon Persé, parce qu’aujourd’hui c’est ton… anniversaire ! Tu as vingt ans !
Il sortit alors de son dos un fantastique gâteau avec vingt bougies dessus. Il était vraiment si gentil ! J’ai voulu y goûter tout de suite, mais il m’a reprit.
-Allons ! Ne t’ai-je pas appris les bonnes manières ?
Le directeur avait très vite compris que je ne dirais jamais « merci », ce qui était digne d’un répondeur. Il m’avait donc enseigné une autre technique pour remercier quelqu’un. Mais je n’eus pas le temps de me baisser que le directeur plongea tête la première au sol et s’écrasa dans le gâteau. Je levai les yeux. Une femme d’une trentaine d’années en fauteuil roulant se tenait devant moi dans l’entrebâillement de la porte, avec un extincteur dans la main avec lequel elle venait de défoncer le crâne du directeur.
-A qui ai-je l’honneur ? demandai-je poliment.
En fait, je pensais qu’elle allait me répondre. Non pas qu’elle avait l’air d’une répondeuse, mais elle semblait plutôt normale. Pourtant, ce qu’elle me dit juste après avait tout de la questionneuse endurcie.
-Est-ce que tu es un LAPIN ?
-Excusez-moi ?
-Enfoiré de rongeur ! Je ne me répéterai pas deux fois ! Est-ce que tu es un LAPIN ?
-Pourquoi serai-je un lapin ?
-Donc t’es pas un LAPIN ?! Tant mieux ! Alors maintenant siteplé, foutons le camp d’ici !
Je l’ai suivie dans le couloir, et on a commencé à détaler comme des lapins.
Vous pensez sûrement qu’après cela, je suis devenu pianiste. Et c’est d’ailleurs sans aucun doute ce qu’aurait fait toute personne sensée. Cependant, à la surprise de tous mes proches, je décidai de devenir un questionneur. Je vous vois arrivé avec vos grands sabots de bois « mouii, qu’est-ce que c’est que ce métier, c’est n’importe quoi, les jeunes de nos jours, etc. » Trop de personnes se moque de mon métier tout simplement car ils ignorent quelles sont ses caractéristiques. Voyez-vous, un questionneur est exactement l’inverse d’un répondeur. C’est-à-dire qu’il doit jurer sur la vie de sa mère, même si elle déjà morte, qu’il ne posera plus que des questions pour le reste de sa vie, et jamais de réponse.
-Et combien ça rapporte cette connerie ? me demandait très aigri mon père.
-Qu’est-ce que j’en sais moi ? lui répondais-je furax. Il était con ou quoi ? C’est moi qui venait d’inventer ce métier, et tant que l’on n’a pas la majorité, on n’a pas le droit de gagner de l’argent. Je ne pouvais donc pas savoir combien ça rapportait !
Toutefois, être questionneur est un métier d’avenir, croyez-moi, et je ne saurais que trop vous le conseiller. Toute mon adolescence, j’ai pu découvrir les multiples et fantastiques usages de celui-ci.
Par exemple, lorsque la professeur vous demande :
-Perséphone (c’est mon nom), venez au tableau.
Vous pouvez répondre du tac au tac :
-Quelle est la couleur de vos chaussettes aujourd’hui ?
Un autre exemple. Vous marchez tranquillement dans les couloirs, et là une fille vient vous voir et vous dit :
-Accepterais-tu de sortir avec moi ?
Vous, aussitôt :
-Mais, au fond, pourquoi les poules n’ont pas de dent ?
Et les exemples sont infinis ! Si vous avez encore du mal à comprendre, je vais prendre un exemple encore plus simple.
Monsieur A : Bonjour, comment allez-vous ?
Monsieur B : Aimez-vous l’emmental ?
Évidemment, je perçus vite de la jalousie dans le regard de tout ce qui m’entourait. Ainsi, un jour, le directeur de l’école vint frapper à la porte et demanda à ce que je vienne dans son bureau. Tout fier d’avoir fait parler de moi jusqu’au bureau du proviseur, j’y allais tout gaiement. Peut-être voulait-il que je lui apprenne les secrets de mon métier, me disais-je en chemin. Mais lorsque j’arrivai, je vis tout de suite que… quelque chose n’allait pas. Effectivement, il y avait dans son bureau plein de superbes tableaux, un bureau qui reflétait votre propre image ou encore des rideaux très très chic.
-Comment ça se fait qu’on a tous du matériel pourri et que ça brille comme ça chez vous ? Vous êtes un escroc ?
-Ah ah, me répondit-il gêné (mes talents de questionneur venaient en effet de se révéler à lui). Nous parlerons de ça plus tard Perséphone. Pour l’instant assis-toi là, tu veux ?
-Vous avez déjà vu un éléphant ?
-Perséphone, je t’en prie, ne change pas de sujet. Tu es un grand garçon maintenant.
-Et une girafe, vous avez déjà vu une girafe ?
-Écoute Perséphone, nous sommes là pour t’aider. Nous t’apprécions beaucoup, là n’est pas la question. Ta maîtresse me dit toujours que tu es un élève « spécial mais charmant ». Néanmoins…
-Et une otarie ?
-Tes capacités de « questionneur » n’ont pas leur place dans cet établissement. Le fait que tu répondes à chaque question dans tes interrogations par « pourquoi vous me le demandez si vous le savez ? » et autres cocasseries ne sont pas possible. Je vais te poser trois questions. Essaye de vraiment y répondre, je demande ça pour ton bien. Premièrement, quel est ton nom ?
-Comment vous avez pu m’appeler Perséphone si vous êtes pas au courant ?
-Réponse acceptable. Deuxièmement, combien ma main droite (il me la montra) a-t-elle de doigts ?
-Vous voyez pas que vous en avez cinq ? Vos lunettes marchent pas ?
-C’est bien petit. Troisièmement, fais-moi une phrase qui ne soit pas interrogative.
-Une quoi ?
-Une phrase non-interrogative.
-Mais pourquoi ?
-Fais-le.
-Vous savez pas comment fonctionne un questionneur ?
-Perséphone, s’il te plaît !
-Et s’il me plaît pas ?
-Dernière chance.
-En somme, vous n’avez jamais vu ni éléphant, ni girafe, ni otarie ?
Maman aurait été fière de moi. J’ai fini dans une camisole de force, enfermé à l’asile Saint-Joseph.
En fait, c’est là-bas que j’ai fini mes dix dernières années jusqu’à aujourd’hui. Je n’ai jamais eu à me plaindre du service. Tout d’abord, ma chambre et mon lit sont tous les deux très confortables, ils sont tous les deux rembourrés avec du coton très doux. Et puis pensez-vous, avant, mon papa me grondait quand je sautais sur mon lit. Mais maintenant que je ne le vois plus, je peux sauter librement dans tous les coins et recoins de ma chambre. En fait pour être exact, au début il venait me rendre visite, et un jour il a dit « oh puis après tout, ta mère n’avait qu’à pas fumer enceinte, allez hop, tu te démerdes » et je ne l’ai jamais revu. Vous vous demandez sûrement si je me suis fais des amis là-bas. Pour tout dire, j’en ai qu’un, mais haut placé hein, c’est le directeur de l’asile ! Je sais me faire des relations moi. Surtout des relations sexuelles d’ailleurs, étant donné que deux jours après que je sois arrivé dans l’asile, le directeur m’a pris à la fois en charge et en levrette. Le problème, c’est qu’il a peur que ça s’ébruite et donc il m’a interdit de voir d’autres personnes. Comme je suis au cinquième étage, je ne vois les autres que par la fenêtre lorsqu’ils jouent dans la cour, mais ils ne m’entendent pas d’ici. Mais je sais rester optimiste : je suis dans une loge confortable, la vue sur toute la ville est imprenable, la bouffe est vraiment pas mal…
TOC TOC TOC.
Je me suis retourné. C’était le directeur.
-Bonjour mon petit questionneur. Comment vas-tu ce soir ?
-Il est déjà dix-huit heures ?
-Eh oui, content de savoir que le temps passe vite pour toi. Par contre, j’ai eu personnellement une journée très difficile, j’espère que tu vas m’aider à me remonter… le moral. Et j’espère que tu as du souffle à revendre aujourd’hui.
-Pourquoi dites-vous cela ?
-Eh bien mon Persé, parce qu’aujourd’hui c’est ton… anniversaire ! Tu as vingt ans !
Il sortit alors de son dos un fantastique gâteau avec vingt bougies dessus. Il était vraiment si gentil ! J’ai voulu y goûter tout de suite, mais il m’a reprit.
-Allons ! Ne t’ai-je pas appris les bonnes manières ?
Le directeur avait très vite compris que je ne dirais jamais « merci », ce qui était digne d’un répondeur. Il m’avait donc enseigné une autre technique pour remercier quelqu’un. Mais je n’eus pas le temps de me baisser que le directeur plongea tête la première au sol et s’écrasa dans le gâteau. Je levai les yeux. Une femme d’une trentaine d’années en fauteuil roulant se tenait devant moi dans l’entrebâillement de la porte, avec un extincteur dans la main avec lequel elle venait de défoncer le crâne du directeur.
-A qui ai-je l’honneur ? demandai-je poliment.
En fait, je pensais qu’elle allait me répondre. Non pas qu’elle avait l’air d’une répondeuse, mais elle semblait plutôt normale. Pourtant, ce qu’elle me dit juste après avait tout de la questionneuse endurcie.
-Est-ce que tu es un LAPIN ?
-Excusez-moi ?
-Enfoiré de rongeur ! Je ne me répéterai pas deux fois ! Est-ce que tu es un LAPIN ?
-Pourquoi serai-je un lapin ?
-Donc t’es pas un LAPIN ?! Tant mieux ! Alors maintenant siteplé, foutons le camp d’ici !
Je l’ai suivie dans le couloir, et on a commencé à détaler comme des lapins.
À suivre.
Dernière édition par Fou le 17/3/2012, 14:09, édité 20 fois
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
En tant qu'auteur égocentrique et imbu de ma personne, je me réserve le droit d'user d'un nombre conséquent de cartes JOKER me permettant d'éluder vos questions au cas où je n'aurai pas envie d'y répondre, vous m'avez suffisament gavé la dernière fois, n'est pas répondeur qui veut.
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Bah... C'est du Fou tout craché ça ! Donc, par definition, j'adoore !! XD
C'est énorme, j'aime bien cette manie que tu as de prendre des trucs tout con et d'en faire une histoire loufoque sans queue ni tête mais qui tient bien la route !
Sinon, j'ai une question... Est-ce que tu t'idetifie a ce personage principal qu'est Perséphone (d'ailleurs on voit que t'as réviser Ulysse a fond pour le bac toi XD).
Et... De combien de joker disposes-tu ? (que je te les fasse tous utiliser... )
C'est énorme, j'aime bien cette manie que tu as de prendre des trucs tout con et d'en faire une histoire loufoque sans queue ni tête mais qui tient bien la route !
Sinon, j'ai une question... Est-ce que tu t'idetifie a ce personage principal qu'est Perséphone (d'ailleurs on voit que t'as réviser Ulysse a fond pour le bac toi XD).
Et... De combien de joker disposes-tu ? (que je te les fasse tous utiliser... )
Rasenti- Futur Artiste
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Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Y a Perséphone dans Ulysse ? xD
Je m'identifie probablement un peu oui
Et pour les jokers... hum... J'en ai trois d'après mes sources !
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Je crois que je suis en train de battre le record du message le plus édité du forum !
N'hésitez pas à me dire si vous trouvez des fautes !
N'hésitez pas à me dire si vous trouvez des fautes !
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Les trois premières phrases sont énormes >< et le reste est bien aussi.
Je trouve sa juste dommage que certaine question qu'il pose en guise de réponse non strictement aucun rapport tout en ayant l'impression qu'il ignore complètement se que vient de dire l'autre, comme si c'est lui qui engageait la conversation par sa question.
Je trouve sa juste dommage que certaine question qu'il pose en guise de réponse non strictement aucun rapport tout en ayant l'impression qu'il ignore complètement se que vient de dire l'autre, comme si c'est lui qui engageait la conversation par sa question.
Aryko- Modérateur des Artistes
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Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Est ce que ton personnage principal est hermaphrodite ?
1 - Tu dis un questionneur.
2 - Tu écris "je me suis retourné"
3 - Perséphone est unE déesse.
4 - Tu dis "je me suis fais prendre en levrette".
5 - Tu dis "mon Persé"
... Hors, "levrette" vient justement du terme "lèvre". Les lèvres inférieures.
Position qui d'ailleurs re... * se fait frapper par Evadrias *
x)
1 - Tu dis un questionneur.
2 - Tu écris "je me suis retourné"
3 - Perséphone est unE déesse.
4 - Tu dis "je me suis fais prendre en levrette".
5 - Tu dis "mon Persé"
... Hors, "levrette" vient justement du terme "lèvre". Les lèvres inférieures.
Position qui d'ailleurs re... * se fait frapper par Evadrias *
x)
Dernière édition par Nere le 20/6/2010, 19:25, édité 1 fois
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Et pis on peut gagner de l'argent sans être majeur pour info ^^
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Joker, ça t'apprendra à critiquer sans même dire si tu as aimé ou pas.
(et va réviser ta culture cochonne)
(et va réviser ta culture cochonne)
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Eh ben j'te dirai pas si j'ai aimé, ça t'apprendra à pas expliquer les invraisemblances et absurdités de tes textes !
(et va réviser tes lois)
(et bien fait pour ma culture cochonne xD)
(et va réviser tes lois)
(et bien fait pour ma culture cochonne xD)
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Tout ne s'explique pas, j'ai une question tout de meme, réponds y ou pas donc : Pourquoi le texte se finit par une affirmation ?
C'est une questionneuse ou juste une différente, que Séraphon, Séphiron, Séraphi... Séraphin ! Que Séraphin s'y identifie ?
C'est une questionneuse ou juste une différente, que Séraphon, Séphiron, Séraphi... Séraphin ! Que Séraphin s'y identifie ?
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Pas compris ta question Youle pour ma part.
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
C'est une questionneuse isn't it ?
Elle finit par une affirmation sur leur fuite...
Elle finit par une affirmation sur leur fuite...
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Ben non, enfin elle pense pas en questionneuse...
Et pis le dernier perso à parler c'est pas elle .
Et pis le dernier perso à parler c'est pas elle .
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
elle semblait plutôt normale. Pourtant, ce qu’elle me dit juste après avait tout de la questionneuse endurcie.
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Je laisse le mystère planer, étant donné que je vais probablement écrire une suite
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Je ne pense pas que ce soit une questionneuse, juste une fille obsédée par le mot lapin écrit en majuscule.
Sympa sympa, quelques moments où la lecture est un peu abrupte, enfin je veux dire que la phrase butte un peu, comme des ruptures de ton. Et puis comme Aryko je crois, je trouve ça beaucoup plus intéressant quand Perséphone (ce prénom de fille pour un mec me gêne un peu) répond par des questions en rapport avec la question et pas hors-sujet.
Mais bon, concept coolos, j'attends la suite :-).
Sympa sympa, quelques moments où la lecture est un peu abrupte, enfin je veux dire que la phrase butte un peu, comme des ruptures de ton. Et puis comme Aryko je crois, je trouve ça beaucoup plus intéressant quand Perséphone (ce prénom de fille pour un mec me gêne un peu) répond par des questions en rapport avec la question et pas hors-sujet.
Mais bon, concept coolos, j'attends la suite :-).
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Tout à fait d'accord avec Anti'.
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Au fait, comme personne n'a daigné le faire et que je pense que t'as eu la flemme d'aller chercher, Perséphone est la femme d'Hades et donc la déesse des enfers =)
Sinon, moi j'aime bien le fait que les questions soient complètement décalées (meme s'il est vrai que ça coupe un peu et qu'on s'attendrait a un truc un minimum en rapport...). Ce serait pas complètement du Fou sinon
Et à mon avis Nere, Perséphone est un homme et Fou voulait simplement dire qu'il subissait une petite sodomie, ne connaissant pas l'éthimologie du mot comme toi xD
Sinon, moi j'aime bien le fait que les questions soient complètement décalées (meme s'il est vrai que ça coupe un peu et qu'on s'attendrait a un truc un minimum en rapport...). Ce serait pas complètement du Fou sinon
Et à mon avis Nere, Perséphone est un homme et Fou voulait simplement dire qu'il subissait une petite sodomie, ne connaissant pas l'éthimologie du mot comme toi xD
Rasenti- Futur Artiste
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Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Mais vous me prenez pour un abruti ou quoi ? >o< Je me renseigne avant d'écrire une histoire !! Tout est voulu dans mes récits (sauf les fautes), souvenez vous en une bonne fois pour toute !
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Nan nan Rasen. Fou a parfaitement r... rai... raifon... raison. Argh *meurt*.
Lol, plus sérieusement, il savait évidemment pou Perséphone (on l'a déjà mentionné), et pareil pour la levrette, qui en réalité peut également avoir lieu dans l'anus, on parle alors de sodomie (ce qui, soit dit en passant, aurait été plus simple que levrette).
Lol, plus sérieusement, il savait évidemment pou Perséphone (on l'a déjà mentionné), et pareil pour la levrette, qui en réalité peut également avoir lieu dans l'anus, on parle alors de sodomie (ce qui, soit dit en passant, aurait été plus simple que levrette).
Re: ah ah ah - Cliché 1 : le personnage qui raconte sa vie pour introduire l'histoire
Mais le jeu de mot en garde et en levrette n'aurait pas été faisable, étant donné qu'on ne dit pas "en sodomie"
*fait de la réanimation cardiaque à Nere, puis appelle Evad' pour le bouche-à-bouche*
*fait de la réanimation cardiaque à Nere, puis appelle Evad' pour le bouche-à-bouche*
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