Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
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Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Vous allez sûrement m'accuser de faire beaucoup de textes gores en ce moment, mais c'est un fait que je ne peux réprimer. Surtout que dans le cas suivant, c'est à cause du film "The Dark Knight" que j'ai eu l'envie de concrétiser une idée qui me trottait dans la tête depuis longtemps. Voilà. Pareille recommandation que pour l'autre texte, je le déconseille à ceux qui n'aiment pas la torture ou encore les psychopathes.
Ce soir, Patrick est content. Oh oui, très très très content. Il va enfin pouvoir un peu s'amuser. Ca fait trois semaines qu'il cherchait une distraction, en vain. Puis il y a eu cette fille. Sarah. Ah, quand Patrick l'a vue, il a été tout émoustillé. Tellement émoustillé qu'il s'est rendu ridicule. Elle s'est moquée de lui, de toute son âme et de tout son rire. Sauf que là, Patrick s'est faché. Il est devenu fou de rage. Mais il n'a rien montré, non, rien. Il a juste laissé ses souvenirs de haine l'envahir, mélangés en une effroyable potion d'amertume, d'humiliation, et d'une soif de sang qu'il ne voulait pas contrôler. Il est devenu calme, très calme, et dans son cerveau de génie a commencé à s'élaborer un plan, pour capturer la fille, et lui faire payer. Ah non, cela n'a pas été chose facile, mais Patrick a d'excellents moyens. Comme il est faible, mais intelligent, il a demandé à la fille si elle ne voulait pas qu'il lui fasse ses devoirs. Et bien sûr, elle a accepté. Petite bécasse va. Je suis sûre que tu te serais fait piéger. Maintenant, tu es là, et je vais bien m'amuser sur toi.
Tout d'abord, je l'ai assomée, pas trop fort hein, il ne fallait pas qu'elle en meure. Puis je lui ai fait connaître l'amère saveur de l'humiliation. Je l'ai attachée par les poignets, au milieu de la cave, dans le noir. Et j'ai tout filmé. Tout, tout, tout. C'était délectable. Quand elle s'est réveillée, et qu'elle m'a vu, elle a tout d'abord été rassurée, puis a hurlé de frayeur. C'est parce que j'avais pris mon joujou préféré avec moi. Pascal, vous savez ? Et avec lui, j'ai déchiré ses vêtements un à un, en la regardant bien dans les yeux. Oh, ces yeux, je n'avais aucune pitié pour eux. Pité est un mot dont le sens m'échappe. Tout comme un sentiment. Moi, tout ce que je veux, c'est m'amuser. Lorsque je l'ai vue toute nue, comme ça, à ma merci, je n'ai pas supporté la vue de son corps intact. Mais la torturer tout de suite aurait été trop simple. Elle tremblait comme un agneau qui voit les lames de l'abbatoir approcher. Ses yeux se remplissaient de larmes, et elle avait du mal à respirer, tant la boule d'angoisse qui lui envahissait la gorge empêchait l'air de passer. J'ai aligné devant elle tout son futur. Le fouet, le ciseau, le fer incandescent. Et bien sûr, Pascal, que j'ai sagement reposé à côté. Puis j'ai commencé à m'amuser. J'ai pris mon fouet, et j'ai fouetté, fouetté, fouetté ! La mignonne pleurait, pleurait, pleurait ! Mais qu'en avais-je à faire ? Haha ! Puis j'ai pris les ciseaux, ciseaux, ciseaux, oh les petits ciseaux tranchants, brillants dans l'obscurité de ma cave ! Et j'ai tout coupé ! TOUT !
Jusque à la racine des cheveux ! Rasée, la mignonne ! Elle me suppliait, son regard effaré en disait long sur sa peur. Je lui avais appliqué un baillon, ses cris m'énervaient. Il était trempé de larmes noires, son mascara coulait inutilement. Elle gémissait d'horreur, et moi de triomphe. Haha ! Mais c'est pas fini, ma biche ! Regarde qui voilà ! Rasoooiiiir ! Ah, j'ai pris mon pied à ce stade, en faisant glisser tout le long de son corps ce rasoir très aiguisé, rien que pour la voir se débattre, de peur que je ne la perce. J'ai suivi tout, tous les contours de son corps, en écorchant un au passage, quand je ne faisais pas attention. La vue de son sang me plut. Mais avant même de mourir, je devais la salir. La souiller, à l'intérieur d'elle-même. Quand elle vit avancer ma main, le supplice sembla commencer pour elle. Elle fit non de la tête, pleura, hurla à travers le tissu, mais moi, je riais. Je m'appliquais à bien lui faire sentir mes doigts là où elle n'avait plus rien à cacher. Partout, partout, partout. Son sexe entier y est passé, ses seins aussi, ses fesses aussi. Elle en sanglotait de honte. Et moi, je prenais mon pied. Mais comme jamais. Je la collais à mon corps, je lui déchirais le dos de mes ongles, je la cambrais, et elle ne pouvait pas se défendre. Ah, comme j'ai aimé ce passage. Puis, ça a été la fin. Pascal m'appelait, je le sentais au fond de moi-même. Je lui embrassais goûlument le sein, puis attrapa le couteau, long de trente-cinq centimètres. D'un coup, TAC ! Il siffla en perçant l'air, et s'arrêta à un centimètre de son oeil gauche. Elle s'évanouit. Ah non, SALOPE ! Ne me gâche pas mon plaisir, en t'endormant à la fin ! Je la frappais de toute mes forces, la giflait, pour lui passer l'envie de recommencer. En effet, elle se réveilla, étonnée, comme si elle avait oublié le lieu où elle se trouvait. Mais je lui rendis vite la mémoire. Un coup de couteau, deux coups de couteau, trois coups... Un coup de couteau, de coups de couteau, trois coups... Dans le ventre, tout d'abord. Puis le coeur, et le dos, et les reins, et les pieds, et les jambes, et le visage ! Tout ! HAHA ! Tu n'étais plus Sarah, tu étais ma poupée, ma poupée préférée ! Et j'ai tout arraché ! Tout ! Ta main est partie, après ta tête. J'ai même découpé ton tronc. Je l'aurais même mangé, si les policiers n'étaient pas intervenus avant. Dommage. Dommage ! J'aurais quand même goûté au plaisir d'une chair, celle du policier qui voulut m'arrêter.
Les experts regardèrent, effarés, la jeune femme emprisonnée dans la camisole de force, se tortillant, les regardant avec une haineuse tranquillité. Elle ne semblait pas du tout préoccupée par son sort, et s'amusait bien, en regardant les murs de sa cellule. Le psychiatre, après avoir jeté un coup d'oeil à son confrère, déclara :
- Diagnostic final ?
- Cas de schizophrénie aigue entraînant un délire psychopathique, amenant le sujet à humilier et commettre des meurtres. Je devrais la questionner plus tard, pour savoir d'où lui vient cette folie, que je soupçonne d'être crée de toutes pièces.
- Prenez garde à vous, tout de même. Qui sait ce qu'elle pourrait faire.
Ce soir, Patrick est content. Oh oui, très très très content. Il va enfin pouvoir un peu s'amuser. Ca fait trois semaines qu'il cherchait une distraction, en vain. Puis il y a eu cette fille. Sarah. Ah, quand Patrick l'a vue, il a été tout émoustillé. Tellement émoustillé qu'il s'est rendu ridicule. Elle s'est moquée de lui, de toute son âme et de tout son rire. Sauf que là, Patrick s'est faché. Il est devenu fou de rage. Mais il n'a rien montré, non, rien. Il a juste laissé ses souvenirs de haine l'envahir, mélangés en une effroyable potion d'amertume, d'humiliation, et d'une soif de sang qu'il ne voulait pas contrôler. Il est devenu calme, très calme, et dans son cerveau de génie a commencé à s'élaborer un plan, pour capturer la fille, et lui faire payer. Ah non, cela n'a pas été chose facile, mais Patrick a d'excellents moyens. Comme il est faible, mais intelligent, il a demandé à la fille si elle ne voulait pas qu'il lui fasse ses devoirs. Et bien sûr, elle a accepté. Petite bécasse va. Je suis sûre que tu te serais fait piéger. Maintenant, tu es là, et je vais bien m'amuser sur toi.
Tout d'abord, je l'ai assomée, pas trop fort hein, il ne fallait pas qu'elle en meure. Puis je lui ai fait connaître l'amère saveur de l'humiliation. Je l'ai attachée par les poignets, au milieu de la cave, dans le noir. Et j'ai tout filmé. Tout, tout, tout. C'était délectable. Quand elle s'est réveillée, et qu'elle m'a vu, elle a tout d'abord été rassurée, puis a hurlé de frayeur. C'est parce que j'avais pris mon joujou préféré avec moi. Pascal, vous savez ? Et avec lui, j'ai déchiré ses vêtements un à un, en la regardant bien dans les yeux. Oh, ces yeux, je n'avais aucune pitié pour eux. Pité est un mot dont le sens m'échappe. Tout comme un sentiment. Moi, tout ce que je veux, c'est m'amuser. Lorsque je l'ai vue toute nue, comme ça, à ma merci, je n'ai pas supporté la vue de son corps intact. Mais la torturer tout de suite aurait été trop simple. Elle tremblait comme un agneau qui voit les lames de l'abbatoir approcher. Ses yeux se remplissaient de larmes, et elle avait du mal à respirer, tant la boule d'angoisse qui lui envahissait la gorge empêchait l'air de passer. J'ai aligné devant elle tout son futur. Le fouet, le ciseau, le fer incandescent. Et bien sûr, Pascal, que j'ai sagement reposé à côté. Puis j'ai commencé à m'amuser. J'ai pris mon fouet, et j'ai fouetté, fouetté, fouetté ! La mignonne pleurait, pleurait, pleurait ! Mais qu'en avais-je à faire ? Haha ! Puis j'ai pris les ciseaux, ciseaux, ciseaux, oh les petits ciseaux tranchants, brillants dans l'obscurité de ma cave ! Et j'ai tout coupé ! TOUT !
Jusque à la racine des cheveux ! Rasée, la mignonne ! Elle me suppliait, son regard effaré en disait long sur sa peur. Je lui avais appliqué un baillon, ses cris m'énervaient. Il était trempé de larmes noires, son mascara coulait inutilement. Elle gémissait d'horreur, et moi de triomphe. Haha ! Mais c'est pas fini, ma biche ! Regarde qui voilà ! Rasoooiiiir ! Ah, j'ai pris mon pied à ce stade, en faisant glisser tout le long de son corps ce rasoir très aiguisé, rien que pour la voir se débattre, de peur que je ne la perce. J'ai suivi tout, tous les contours de son corps, en écorchant un au passage, quand je ne faisais pas attention. La vue de son sang me plut. Mais avant même de mourir, je devais la salir. La souiller, à l'intérieur d'elle-même. Quand elle vit avancer ma main, le supplice sembla commencer pour elle. Elle fit non de la tête, pleura, hurla à travers le tissu, mais moi, je riais. Je m'appliquais à bien lui faire sentir mes doigts là où elle n'avait plus rien à cacher. Partout, partout, partout. Son sexe entier y est passé, ses seins aussi, ses fesses aussi. Elle en sanglotait de honte. Et moi, je prenais mon pied. Mais comme jamais. Je la collais à mon corps, je lui déchirais le dos de mes ongles, je la cambrais, et elle ne pouvait pas se défendre. Ah, comme j'ai aimé ce passage. Puis, ça a été la fin. Pascal m'appelait, je le sentais au fond de moi-même. Je lui embrassais goûlument le sein, puis attrapa le couteau, long de trente-cinq centimètres. D'un coup, TAC ! Il siffla en perçant l'air, et s'arrêta à un centimètre de son oeil gauche. Elle s'évanouit. Ah non, SALOPE ! Ne me gâche pas mon plaisir, en t'endormant à la fin ! Je la frappais de toute mes forces, la giflait, pour lui passer l'envie de recommencer. En effet, elle se réveilla, étonnée, comme si elle avait oublié le lieu où elle se trouvait. Mais je lui rendis vite la mémoire. Un coup de couteau, deux coups de couteau, trois coups... Un coup de couteau, de coups de couteau, trois coups... Dans le ventre, tout d'abord. Puis le coeur, et le dos, et les reins, et les pieds, et les jambes, et le visage ! Tout ! HAHA ! Tu n'étais plus Sarah, tu étais ma poupée, ma poupée préférée ! Et j'ai tout arraché ! Tout ! Ta main est partie, après ta tête. J'ai même découpé ton tronc. Je l'aurais même mangé, si les policiers n'étaient pas intervenus avant. Dommage. Dommage ! J'aurais quand même goûté au plaisir d'une chair, celle du policier qui voulut m'arrêter.
Les experts regardèrent, effarés, la jeune femme emprisonnée dans la camisole de force, se tortillant, les regardant avec une haineuse tranquillité. Elle ne semblait pas du tout préoccupée par son sort, et s'amusait bien, en regardant les murs de sa cellule. Le psychiatre, après avoir jeté un coup d'oeil à son confrère, déclara :
- Diagnostic final ?
- Cas de schizophrénie aigue entraînant un délire psychopathique, amenant le sujet à humilier et commettre des meurtres. Je devrais la questionner plus tard, pour savoir d'où lui vient cette folie, que je soupçonne d'être crée de toutes pièces.
- Prenez garde à vous, tout de même. Qui sait ce qu'elle pourrait faire.
Et ce qu'IL pourrait faire, Docteur ?
Vous y pensez ?
FIN
Vous y pensez ?
FIN
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
(mais dans ce cas c'est une preuve de réalisme)
Inspiration venant de Joker peut être ?
La manière de pensé de ton personnage lui ressemble beaucoup, à la seul différence que le Joker n'est pas un violeur.
Inspiration venant de Joker peut être ?
La manière de pensé de ton personnage lui ressemble beaucoup, à la seul différence que le Joker n'est pas un violeur.
Aryko- Modérateur des Artistes
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Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Il m'a juste sidérée par son jeu d'acteur plus qu'excellent, et comme l'idée d'écrire ce texte me trottait das la tête, je me suis dit : Bon, allez, faut que tu le fasses maintenant !
Mais j'avoue que le Joker est... Exceptioneeel...
Et infiniment plus intéressant que mon personnage, ici même.
Mais j'avoue que le Joker est... Exceptioneeel...
Et infiniment plus intéressant que mon personnage, ici même.
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
J'avais ecrit un coment avant aryko . mais il est plus là ... enfin je le redis :
C'est marrant .. ^^je trouve pas ca tres gore, ton gars est simple et facile a comprendre ^^un vrai ptit psychopathe . ( C'est qui ou quoi Pascal ? )
C'est un peu rapide ... Ca me donne envie d'ecrire aussi sur ce sujet ^^ tu est une vrai source d'inspirations lyry
C'est marrant .. ^^je trouve pas ca tres gore, ton gars est simple et facile a comprendre ^^un vrai ptit psychopathe . ( C'est qui ou quoi Pascal ? )
C'est un peu rapide ... Ca me donne envie d'ecrire aussi sur ce sujet ^^ tu est une vrai source d'inspirations lyry
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Merci =)
Ah, mais je n'ai pas le talent de Thomas Harris, ça, c'est sûr. Mais l'étude du comportement est un domaine qui me fascine.
Pour le gore, je confiais ça aux petites natures, mais je ne pense pas qu'elles existent sur ce forum.
Dis donc, et le texte "Dans sa tête", il pue ou quoi ? C'est un de mes textes favoris, alors je veux des commentaires dessus tout de suite !
Pascal, c'est le couteau. Elle lui donne un nom.
Ah, mais je n'ai pas le talent de Thomas Harris, ça, c'est sûr. Mais l'étude du comportement est un domaine qui me fascine.
Pour le gore, je confiais ça aux petites natures, mais je ne pense pas qu'elles existent sur ce forum.
Dis donc, et le texte "Dans sa tête", il pue ou quoi ? C'est un de mes textes favoris, alors je veux des commentaires dessus tout de suite !
Pascal, c'est le couteau. Elle lui donne un nom.
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Je peux être méchant ?
Parce qu'il est évident que si j'avais cherché dans mes pulsions gores, j'aurai aimé ce texte.
Mais j'ai eu la flemme de le faire, et je me suis ennuyé tout le long du texte.
Parce qu'il est évident que si j'avais cherché dans mes pulsions gores, j'aurai aimé ce texte.
Mais j'ai eu la flemme de le faire, et je me suis ennuyé tout le long du texte.
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Toi, t'as pas vu dark knigt ...
Aryko- Modérateur des Artistes
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Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Si, une très bonne production américaine (sans ironie).
Ledger est presque aussi fort que moi !
Ledger est presque aussi fort que moi !
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Ben un texte gore, si on y est trop habitué et blasé, c'est normal que l'on s'ennuie, désolé.
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Je dois bien l'avouer, et je ne t'en veux pas. Mais tu as manqué de délicatesse, sur ce coup là. Enfin, c'est passé.
Toi, délicat ?
=D
Toi, délicat ?
=D
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
:
"Ma très chère Lyry (permettez moi de vous nommez lyry)
Loin de moi l'idée de vous offensé en disant c'est quelque mots, mais cette dernière œuvre manque peut-être d'interret comparer aux autres. Peut être est-ce la répétition d'un telle sujet qui se répercute sur l'image que j'ai de votre texte sous forme d'ennuis. Cependant je reconnais votre talent pour se qui est de l'art des mots.
Bien à vous.
Pit "
C'est pourtant pas compliqué ?!?
"Ma très chère Lyry (permettez moi de vous nommez lyry)
Loin de moi l'idée de vous offensé en disant c'est quelque mots, mais cette dernière œuvre manque peut-être d'interret comparer aux autres. Peut être est-ce la répétition d'un telle sujet qui se répercute sur l'image que j'ai de votre texte sous forme d'ennuis. Cependant je reconnais votre talent pour se qui est de l'art des mots.
Bien à vous.
Pit "
C'est pourtant pas compliqué ?!?
Aryko- Modérateur des Artistes
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Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Il faut savoir que Benji est en réalité lui aussi très sévère pour la critique.
D'ailleurs, je m'en vais écrire un article dans philo, hop.
D'ailleurs, je m'en vais écrire un article dans philo, hop.
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Comment ? Se moquerait t-on de moi ??
Ouais, de la philo !! (j'espère que c'est marrant en terminal)
Ouais, de la philo !! (j'espère que c'est marrant en terminal)
Aryko- Modérateur des Artistes
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Localisation : Quelque-par par là
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Patrick / Nouvelle gore & psychopathique
Bah justement, tu crois que c'est marrant, puis en fait...
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