Rouge & Pan / Fantastique-absurde
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Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Cette lumière était tellement aveuglante.
Petit Pan cligna des yeux.
Il se leva, et repoussa machinalement la pointe de sa capuche venue chatouiller son nez. Où pouvait-il bien être ? Ses yeux s’habituèrent rapidement. Une fontaine. Il était près d’une fontaine. L’eau y était claire, et son bruissement doux et agréable semblait rafraichir l’air ambiant. Il s’en approcha. La statue de faune qui crachait le liquide transparent était finement sculptée dans du granite d’un blanc laiteux. À ses côtés pendait une flûte.
Il cligna des yeux.
Petit Pan écarquilla les siens. Il recommença. Le garçon se détourna, apeuré. Mais où était-il dont ? Il regarda autour de lui. Rien. Rien de rien. Le néant. Le vide absolu. Son regard ne pouvait se poser sur aucune forme hormis la fontaine. Autour de lui, ce n’était pas le noir, ni la lumière qui l’avait aveuglée à son réveil… mais RIEN. Indescriptible. C’était comme s’imaginer du feu en train de s’évaporer.
Elle cacha ses yeux avec ses mains, empêchant la lumière de brûler ses yeux verts.
Petite Rouge cligna des yeux.
Elle se leva, et repoussa machinalement une mèche de cheveux blonds de sa joue. Où pouvait-elle bien être ? Ses yeux s’habituèrent rapidement. Une immense fontaine. Elle était près d’une superbe fontaine. L’eau y était claire, et son bruissement doux et agréable semblait rafraichir l’air ambiant. Quelques embruns venaient d’ailleurs se poser sur son front, ce qui lui fit le plus grand bien. Elle s’en approcha. La statue de faune qui crachait le liquide transparent était finement sculptée dans du marbre d’un noir profond. À ses côtés pendait une flûte de bois. De l’if.
Il cligna des yeux.
Petite Rouge écarquilla les siens. Il recommença, en fronçant les sourcils. La fille se détourna, apeurée. Mais où était-elle dont ? Elle regarda autour d’elle. Rien. Rien de rien. Le néant. Le vide absolu. Son regard ne pouvait se poser sur aucune forme hormis la fontaine. Autour d’elle, ce n’était pas le noir, ni la lumière qui l’avait aveuglée à son réveil… mais RIEN. Indescriptible. C’était comme s’imaginer de l’eau en train de brûler.
Petit Pan se rapprocha à nouveau de la fontaine, et grimpa sur le rebord de pierre afin de se mettre à la hauteur du faune, et le regarda dans les yeux avec une pointe de défis, d’un air de dire : « cligne à nouveau des yeux, si tu l’oses ». Le faune s’étira. Petit Pan le toucha. La pierre était chaude. Le faune continua sa gymnastique, comme s’il était resté immobile pendant des siècles, puis il ferma la bouche, et déglutit. Le bruissement de l’eau cessa. Il regarda le petit garçon, et sourit.
Petit Pan le salua, en enlevant son chapeau. Le faune répondit à son salut en s’inclinant. Petit Pan sourit. Il ignorait où il était, mais il n’était pas seul.
Petite Rouge se rapprocha à nouveau de la fontaine, et grimpa sur le rebord de pierre lisse afin de se mettre à la hauteur du faune, et le regarda dans les yeux avec une pointe de défis, d’un air de dire: « cligne à nouveau des yeux, si tu l’oses, statue ». Le faune s’étira. Petite Rouge le caressa. La pierre était chaude, brulante. Le faune continua sa gymnastique, comme s’il n’avait pas bougé depuis des siècles, puis il ferma la bouche, et déglutit. Le bruissement de l’eau cessa. Il regarda la petite fille, et sourit.
Petite Rouge le salua. Le faune répondit à son salut en touchant effleurant la main blanche de ses lèvres noires. Petite Rouge sourit. Elle ignorait où elle était, mais elle n’était pas seule. Le faune lui saisit la main.
Le faune lui montra l’horizon. Petit Pan regarda, mais ne vit rien d’autre que le feu s’évaporant. Il le questionna du regard. Le faune secoua la tête. Il s’étira les pattes, et sauta de son socle. Puis il fit signe à Petit Pan de monter sur ses épaules. Le garçon obtempéra sans vraiment savoir ce qu’il faisait, comme en rêve. Il se sentait léger. Une fois sur les épaules musclées du faune, ce dernier partit en courant… et sauta dans le vide.
Le faune lui montra l’horizon, avec un large geste. Ses bras étaient musclés et poilus. Petite Rouge regarda, mais ne vit rien d’autre que l’eau enflammée. Elle le questionna du regard. Le faune secoua la tête, faisant tinter les grelots dans ses cheveux. Il s’étira les pattes, saisissant un à un ses sabots et sauta de son socle. Puis il fit signe à Petite Rouge de monter sur ses épaules. La fille obtempéra sans vraiment savoir ce qu’elle faisait, comme en rêve. Elle se sentait légère. Une fois sur les épaules du faune, ce dernier partit en courant… et sauta dans le vide.
Ils ne tombaient pas. Le faune savait ce qu’il faisait. Ils passaient de fontaine en fontaine. Lorsque le socle n’était pas occupé par une statue (qui n’était pas toujours un faune), il prenait appui sur celui-ci et s’élançait. Ils semblaient ainsi arpenter un large monde, ou tout semblait vide, ou au contraire trop plein. De temps à autre, ils croisaient un autre couple. Mais c’était toujours le même. Un autre faune, lui aussi monté sur ressort, avec sur ses épaules un enfant endormi.
Et ils continuaient à sauter, toujours droit devant. L’enfant ouvrit les yeux. Il leva la tête. Il y avait un ciel. De nombreuses étoiles l’illuminaient. Et pourtant, il faisait jour. Il y’avait aussi un grand croissant de lune, qui fendait le bleu d’un large sourire. L’autre couple les suivait à présent. Ou plutôt, les deux faunes couraient ensemble, exécutant exactement les mêmes gestes. Ils évoluaient avec grâce. Les deux enfants se regardèrent, et sourirent. Sans que leurs mouvements ne traduisent en rien ce qu’ils pensaient, les deux faunes en firent autant. Ils ignoraient où ils allaient, mais ce rêve était léger, et divin.
Petit Pan cligna des yeux.
Il se leva, et repoussa machinalement la pointe de sa capuche venue chatouiller son nez. Où pouvait-il bien être ? Ses yeux s’habituèrent rapidement. Une fontaine. Il était près d’une fontaine. L’eau y était claire, et son bruissement doux et agréable semblait rafraichir l’air ambiant. Il s’en approcha. La statue de faune qui crachait le liquide transparent était finement sculptée dans du granite d’un blanc laiteux. À ses côtés pendait une flûte.
Il cligna des yeux.
Petit Pan écarquilla les siens. Il recommença. Le garçon se détourna, apeuré. Mais où était-il dont ? Il regarda autour de lui. Rien. Rien de rien. Le néant. Le vide absolu. Son regard ne pouvait se poser sur aucune forme hormis la fontaine. Autour de lui, ce n’était pas le noir, ni la lumière qui l’avait aveuglée à son réveil… mais RIEN. Indescriptible. C’était comme s’imaginer du feu en train de s’évaporer.
Elle cacha ses yeux avec ses mains, empêchant la lumière de brûler ses yeux verts.
Petite Rouge cligna des yeux.
Elle se leva, et repoussa machinalement une mèche de cheveux blonds de sa joue. Où pouvait-elle bien être ? Ses yeux s’habituèrent rapidement. Une immense fontaine. Elle était près d’une superbe fontaine. L’eau y était claire, et son bruissement doux et agréable semblait rafraichir l’air ambiant. Quelques embruns venaient d’ailleurs se poser sur son front, ce qui lui fit le plus grand bien. Elle s’en approcha. La statue de faune qui crachait le liquide transparent était finement sculptée dans du marbre d’un noir profond. À ses côtés pendait une flûte de bois. De l’if.
Il cligna des yeux.
Petite Rouge écarquilla les siens. Il recommença, en fronçant les sourcils. La fille se détourna, apeurée. Mais où était-elle dont ? Elle regarda autour d’elle. Rien. Rien de rien. Le néant. Le vide absolu. Son regard ne pouvait se poser sur aucune forme hormis la fontaine. Autour d’elle, ce n’était pas le noir, ni la lumière qui l’avait aveuglée à son réveil… mais RIEN. Indescriptible. C’était comme s’imaginer de l’eau en train de brûler.
Petit Pan se rapprocha à nouveau de la fontaine, et grimpa sur le rebord de pierre afin de se mettre à la hauteur du faune, et le regarda dans les yeux avec une pointe de défis, d’un air de dire : « cligne à nouveau des yeux, si tu l’oses ». Le faune s’étira. Petit Pan le toucha. La pierre était chaude. Le faune continua sa gymnastique, comme s’il était resté immobile pendant des siècles, puis il ferma la bouche, et déglutit. Le bruissement de l’eau cessa. Il regarda le petit garçon, et sourit.
Petit Pan le salua, en enlevant son chapeau. Le faune répondit à son salut en s’inclinant. Petit Pan sourit. Il ignorait où il était, mais il n’était pas seul.
Petite Rouge se rapprocha à nouveau de la fontaine, et grimpa sur le rebord de pierre lisse afin de se mettre à la hauteur du faune, et le regarda dans les yeux avec une pointe de défis, d’un air de dire: « cligne à nouveau des yeux, si tu l’oses, statue ». Le faune s’étira. Petite Rouge le caressa. La pierre était chaude, brulante. Le faune continua sa gymnastique, comme s’il n’avait pas bougé depuis des siècles, puis il ferma la bouche, et déglutit. Le bruissement de l’eau cessa. Il regarda la petite fille, et sourit.
Petite Rouge le salua. Le faune répondit à son salut en touchant effleurant la main blanche de ses lèvres noires. Petite Rouge sourit. Elle ignorait où elle était, mais elle n’était pas seule. Le faune lui saisit la main.
Le faune lui montra l’horizon. Petit Pan regarda, mais ne vit rien d’autre que le feu s’évaporant. Il le questionna du regard. Le faune secoua la tête. Il s’étira les pattes, et sauta de son socle. Puis il fit signe à Petit Pan de monter sur ses épaules. Le garçon obtempéra sans vraiment savoir ce qu’il faisait, comme en rêve. Il se sentait léger. Une fois sur les épaules musclées du faune, ce dernier partit en courant… et sauta dans le vide.
Le faune lui montra l’horizon, avec un large geste. Ses bras étaient musclés et poilus. Petite Rouge regarda, mais ne vit rien d’autre que l’eau enflammée. Elle le questionna du regard. Le faune secoua la tête, faisant tinter les grelots dans ses cheveux. Il s’étira les pattes, saisissant un à un ses sabots et sauta de son socle. Puis il fit signe à Petite Rouge de monter sur ses épaules. La fille obtempéra sans vraiment savoir ce qu’elle faisait, comme en rêve. Elle se sentait légère. Une fois sur les épaules du faune, ce dernier partit en courant… et sauta dans le vide.
Ils ne tombaient pas. Le faune savait ce qu’il faisait. Ils passaient de fontaine en fontaine. Lorsque le socle n’était pas occupé par une statue (qui n’était pas toujours un faune), il prenait appui sur celui-ci et s’élançait. Ils semblaient ainsi arpenter un large monde, ou tout semblait vide, ou au contraire trop plein. De temps à autre, ils croisaient un autre couple. Mais c’était toujours le même. Un autre faune, lui aussi monté sur ressort, avec sur ses épaules un enfant endormi.
Et ils continuaient à sauter, toujours droit devant. L’enfant ouvrit les yeux. Il leva la tête. Il y avait un ciel. De nombreuses étoiles l’illuminaient. Et pourtant, il faisait jour. Il y’avait aussi un grand croissant de lune, qui fendait le bleu d’un large sourire. L’autre couple les suivait à présent. Ou plutôt, les deux faunes couraient ensemble, exécutant exactement les mêmes gestes. Ils évoluaient avec grâce. Les deux enfants se regardèrent, et sourirent. Sans que leurs mouvements ne traduisent en rien ce qu’ils pensaient, les deux faunes en firent autant. Ils ignoraient où ils allaient, mais ce rêve était léger, et divin.
Dernière édition par Nere le 20/6/2010, 14:33, édité 3 fois
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Des fautes ? Quelles fautes ? x)
Après avoir carrément écrit un tuto pour "comment critiquer", j'aimerais que tu développes un peu :p
Après avoir carrément écrit un tuto pour "comment critiquer", j'aimerais que tu développes un peu :p
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
"où était-il dont" = où était-il donc
"deglutina" = déglutit
J'aime pas les enfants. Mais j'aime bien ton texte. Il me fait beaucoup penser à un court-métrage Pixar, bon je ne le trouve plus mais je vous en mets un autre pour le fun (oulala Nere va râler que ça fout le bordel dans les rubriques!)
right here
Bref, sinon ouais bien garçon, un peu gentillet, mais créatif.
"deglutina" = déglutit
J'aime pas les enfants. Mais j'aime bien ton texte. Il me fait beaucoup penser à un court-métrage Pixar, bon je ne le trouve plus mais je vous en mets un autre pour le fun (oulala Nere va râler que ça fout le bordel dans les rubriques!)
right here
Bref, sinon ouais bien garçon, un peu gentillet, mais créatif.
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Alors oui ton lien n'a absolument rien à faire ici.
Ensuite, merci pour les deux ptites fautes (dont une que j'ai faite dans mon bac blanc... je pensais qu'on pouvait dire "où était il dont")
En quoi n'aime tu pas les perso des enfants ?
Et en quoi trouve tu cela gentillet ?
PS : Word ne voit même pas que "déglutina" n'existe pas Oo
Ensuite, merci pour les deux ptites fautes (dont une que j'ai faite dans mon bac blanc... je pensais qu'on pouvait dire "où était il dont")
En quoi n'aime tu pas les perso des enfants ?
Et en quoi trouve tu cela gentillet ?
PS : Word ne voit même pas que "déglutina" n'existe pas Oo
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Mais le forum le voit!
Je n'aime pas trop les enfants en général, et surtout la mièvrerie de leurs aventures, donc je n'ai pas de raison d'aimer plus ces enfants là que les autres. Non, c'est faux, les enfants me laissent plutôt indifférente ou à la limite intriguée, mais je n'aime pas les histoires d'enfants, trop gentillettes = proprettes, mignonnes, choupinettes quoi, un peu légères.
Je n'aime pas trop les enfants en général, et surtout la mièvrerie de leurs aventures, donc je n'ai pas de raison d'aimer plus ces enfants là que les autres. Non, c'est faux, les enfants me laissent plutôt indifférente ou à la limite intriguée, mais je n'aime pas les histoires d'enfants, trop gentillettes = proprettes, mignonnes, choupinettes quoi, un peu légères.
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Mon avis se rapproche sensiblement de celui d'Anti'. Moi je n'aime carrément pas les gosses (en vrai) donc j'ai pas vraiment accroché aux persos... Et il y a un je ne sais quoi qui manque qui fait que ben... je m'ennuie... Peut-être pas assez d'action, de trame ou de logique, complexité... Que sais-je encore ? Je trouve aussi que c'est trop gentillet...
MAIS l'idée de doubler la narration est super ! Vraiment ça j'adoore ! Ca donne un coté "mystique" accentué par l'univers que tu crée. De plus, tu écris toujours aussi bien et donc, même si comme je l'ai dit je n'ai pas vraiment pris de plaisir à le lire, tu sais nous transporter et nous emmener là où tu veux qu'on aille ^^
MAIS l'idée de doubler la narration est super ! Vraiment ça j'adoore ! Ca donne un coté "mystique" accentué par l'univers que tu crée. De plus, tu écris toujours aussi bien et donc, même si comme je l'ai dit je n'ai pas vraiment pris de plaisir à le lire, tu sais nous transporter et nous emmener là où tu veux qu'on aille ^^
Rasenti- Futur Artiste
- Nombre de messages : 1207
Age : 31
Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Mes amis, cherchez un peu, pourquoi justement un côté tellement gentillet ... d'après vous ? Je n'aurais pas la prétention de dire que je calcule tout (ce qui est archifaux) mais je suis sure que ce n'est pas pour rien que cette histoire semble, à première vue, gentillette.
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Parce que c'est ton double bénéfique?
Et aucun rapport avec une brute sans coeur, je pense que tu me connais assez pour le savoir.
Et aucun rapport avec une brute sans coeur, je pense que tu me connais assez pour le savoir.
Antinéa- Amis Artiste
- Nombre de messages : 834
Age : 32
Date d'inscription : 09/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
(je plaisantais évidemment)
Un double bénéfique ? Pourquoi pas.
Un double bénéfique ? Pourquoi pas.
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Pourquoi tu veux qu'on cherche une interprétation alors que tu n'en as pas mis ? XD
Bah sinon... Je dirais que comme le theme était "univers parallèle" tu as fais quelque chose de gentillet parce que pour toit la gentillesse (dans une histoire) ne peut exister que dans un autre monde...
Ca tient la route non ?
Bah sinon... Je dirais que comme le theme était "univers parallèle" tu as fais quelque chose de gentillet parce que pour toit la gentillesse (dans une histoire) ne peut exister que dans un autre monde...
Ca tient la route non ?
Rasenti- Futur Artiste
- Nombre de messages : 1207
Age : 31
Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Wow, j'aime beaucoup ton interprétation =D
Ben j'la joue à la Fou, j'veux savoir ce que vous pensez ^^
Ben j'la joue à la Fou, j'veux savoir ce que vous pensez ^^
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Attends, j'en ai une autre !!
Alors... Tu as fais une histoire gentillette parce que tu as été battu durant toute ton enfance et que tu ne connaissais pas l'amour avant de rencontrer ta dulcinée qui t'a tellement inspiré que ton amour débordant pour elle s'est refletté dans ton histoire !
Alors, alors ? Chuis pas trop fort ?
Alors... Tu as fais une histoire gentillette parce que tu as été battu durant toute ton enfance et que tu ne connaissais pas l'amour avant de rencontrer ta dulcinée qui t'a tellement inspiré que ton amour débordant pour elle s'est refletté dans ton histoire !
Alors, alors ? Chuis pas trop fort ?
Rasenti- Futur Artiste
- Nombre de messages : 1207
Age : 31
Localisation : A la frontière des mondes...
Date d'inscription : 11/11/2009
Re: Rouge & Pan / Fantastique-absurde
Je viens de retravailler ce texte. J'aimerais que vous me disiez si c'est plus agréable à lire
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